Le fait de la reine

24.04.14 | par Le Grincheux | Catégories: Je hais les politiciens

Cela n'a pu vous échapper. Marie-Ségolène Royal est à présent ministre de l'écologie. C'est assez étrange lorsqu'on se rappelle que, juste après son élection, François Hollande avait déclaré qu'un ministre qui perdrait une élection devrait quitter son poste. Il est vrai que Marie-Ségolène n'a pas perdu une élection contre l'opposition de droite, mais contre un dissident de sa propre majorité, prouvant par là combien le bon peuple de gauche appréciait la dame dans son propre fief. Cette défaite devrait encore être plus humiliante qu'une défaite contre un adversaire de droite et devrait ôter toute légitimité à la dame. Visiblement, il y a deux poids et deux mesures selon que vous serez ou non une ex de notre président normal.

Donc, Marie-Ségolène vibrille à l'hôtel de Roquelaure, siège du ministère de l'écologie. Sans doute pour lutter contre le réchauffement climatique, elle a jeté un froid sur le personnel dès son installation. La cause ? Une consigne, un règlement intérieur, un code de conduite destinés à respecter l'étiquette dont le caractère draconien apparaît non seulement autocratique mais aussi complètement hors norme.

En particulier, il est exigé du personnel féminin une tenue décente avec « interdiction des décolletés » comme si les fonctionnaires de ce ministère venaient travailler seins nus et avaient besoin d'un rappel pour n'y venir dans des tenues décentes. Je rappelle à toutes fins utiles au ministre qu'on ne lui a demandé que de reboucher le trou dans la couche d'ozone.

Selon le personnel, le ministre se déplacerait dans les couloirs toujours précédées d'un huissier qui l'annonce. Cette disposition est en soi étrange, mais le plus beau est à venir. Cet huissier annonce son passage pour que le personnel qui en a l'obligation puisse se lever au passage du ministre. Il est également interdit au personnel de fumer dans la cour et le jardin en présence du ministre. Qu'il y ait une interdiction formelle ne me dérange pas en soi, mais que cette interdiction soit conditionnée à la présence ou non du ministre est pour le moins surprenant.

Lorsque la ministre déjeune dans son salon, il est défendu au membre de son cabinet d'emprunter le couloir adjacent pour cause de nuisances sonores si bien que pour atteindre la salle dite de la « popote », il s'agit de ne pas traîner. Dès le ministre dans son salon, la seule voie d'accès à la « popote » est interdite. Tant pis pour les retardataires ! Mon mauvais esprit me souffle que le port des charentaises devraient être obligatoire, surtout pour l'ancienne madone du Poitou et ses conseillers traîne-savates un peu trop bruyants.

Le ministre impose aussi le co-working, anglicisme signifiant qu'aucun bureau ne doit être occupé par une seule personne. Naturellement, en dehors du sien, il ne faut pas exagérer non plus.

 
 

De là à dire que Royal porte bien son nom, il y a un pas que je franchis allègrement d'un pas léger. 

 

 

Le principe du Grincheux

15.04.14 | par Le Grincheux | Catégories: Mauvais esprit

Je ne sais pas si vous le savez, mais il existe un certain nombre de lois empiriques permettant de décrire la vie propre d'une hiérarchie. Il est possible de limiter le nombre de ses principes à trois grandes lois :

  • le principe de Peter ;
  • le principe de Dilbert ;
  • et la loi de Parkinson.

Depuis quelque jours, je me demande s'il ne faudrait pas y adjoindre la loi du Grincheux. La thèse est osée, mais comme toute thèse parfaitement défendable. Mais avant de défendre cette thèse, expliquons un peu ce que sont ces trois grands principes de la vie en société organisée.

Commençons par le principe de Peter. Ce principe est une loi empirique relative aux organisations hiérarchiques proposée par Laurence J. Peter et Raymond Hull dans l'ouvrage Le principe de Peter  paru en 1970. Selon ce principe, « dans une hiérarchie, tout employé a tendance à s'élever à son niveau d'incompétence » avec le corollaire qu'« avec le temps, tout poste sera occupé par un employé incapable d'en assumer la responsabilité ». Les postulats de base du principe sont les suivants :

  • Principes de base :

    • un employé compétent à un poste donné est promu à un niveau hiérarchique supérieur ;
    • un incompétent à un poste donné n'est pas promu à un niveau supérieur, ni rétrogradé à son ancien poste.
  • Corollaires :

    • un employé ne restera dans aucun des postes où il est compétent puisqu'il sera promu à des niveaux hiérarchiques supérieurs ;
    • par suite des promotions, l'employé finira (probablement) par atteindre un poste auquel il sera incompétent ;
    • par son incompétence à ce poste, l'employé ne recevra plus de promotion, il restera donc indéfiniment à un poste pour lequel il est incompétent ;
    • à long terme, tous les postes finissent par être occupés par des employés incompétents pour leur fonction ;
    • la majorité du travail est effectuée par des salariés n'ayant pas encore atteint leur « seuil d'incompétence ».
  • Compléments :

De plus, si nous partons du principe que plus un poste est élevé dans la hiérarchie,

    • plus il demande des compétences ;
    • plus son impact est grand sur le fonctionnement de l'organisation,

il découle immédiatement que l'impact de l'incompétence de l'employé aura été rendue maximale par le niveau hiérarchique du poste auquel il aura été promu.

Peter remarque que plus le nombre d'échelons hiérarchiques est élevé, plus chacun voit une chance de parvenir à son niveau d'incompétence et de subir « la stagnation de Peter ». Il remarque que les hiérarques, quand ils sont devenus réellement incompétents, se complaisent à fréquenter des réunions, colloques, séminaires, symposiums, conférences… Le corps des hiérarques peut alors entrer en « lévitation » sous le nom de « sommet volant ». En résumé, on ne peut déboulonner un hiérarque incompétent pour les raisons suivantes :

  • seul un hiérarque peut le faire ;
  • s'il le fait, il se déjuge et admet son incompétence à discerner le personnel compétent ;
  • mais on peut toujours déplacer la sous hiérarchie que constitue le personnel sous ses ordres ;
  • le hiérarque reste ainsi seul à la tête d'une pyramide sans base, sur son « sommet volant ».

Je vous laisse méditer et je ramasse les copies dans quatre heures…

Force est pourtant de constater qu'aujourd'hui, le principe de Peter est supplanté par celui de Dilbert, une version aggravée du principe de Peter. En effet, dans le livre satirique Le Principe de Dilbert, le dessinateur Scott Adams rappelle le principe de Peter : Tout employé tend à s'élever à son niveau d'incompétence. Mais ces dernières décennies, selon l'auteur, le management a évolué d'une manière telle que l'époque où le principe de Peter s'appliquait pourrait passer pour un âge d'or en comparaison. Le nouveau principe, principe de Dilbert, s'énonce ainsi : « Les gens les moins compétents sont systématiquement affectés aux postes où ils risquent de causer le moins de dégâts : ceux de managers ».

Si le principe de Peter garantissait qu'un dirigeant incompétent serait compétent s'il occupait le poste d'un de ses subordonnés, dans une entreprise dilbertienne au contraire, les dirigeants sont ceux qui étaient les plus nuls aux postes subordonnés. En particulier, ils ne comprennent rien à la technologie et manquent de bon sens dans les cas les plus graves.

Réciproquement, les employés les plus compétents ne sont en aucun cas promus, car irremplaçables à leurs postes actuels.

Nous pouvons noter que bien qu'apparemment inégalitaire, le principe de Dilbert apporte en théorie une solution au problème posé par le principe de Peter :

  • les employés incompétents ne restent pas dans un poste où ils ne sont pas compétents (car promus) ;
  • les employés compétents restent à un poste où ils sont compétents car non-promus.

Scott Adams a aussi illustré ces principes dans des bandes dessinées humoristiques représentant Dilbert.

Vous avez quatre autres heures.

Nous nous retrouvons donc avec des directions totalement incompétentes et des exécutants de plus en plus occupés lorsqu'ils sont encore compétents à leurs postes. Pourtant les directions doivent aussi avoir l'impression d'être surchargées pour justifier leur existence. Cette génération spontanée de travail inutile et coûteux a été formulée par C. Northocote Parkinson qui a développé sa loi (Work expands so as to fill the time available for its completion. General recognition of this fact is shown in the proverbial phrase: It is the busiest man who has time to spare) à partir de trois éléments :

  • la loi des gaz appliquée au travail qui permet à C. N. Parkinson d'affirmer que le travail étant extensible, il n'y a pas (ou très peu) de relation entre un travail donné et la taille de l'équipe qui en est chargée ;
  • les deux forces qui dictent le comportement des fonctionnaires et que la longue expérience de C. Northcote Parkinson dans l'administration lui permet de mettre en évidence :
  1. « un fonctionnaire entend multiplier ses subordonnés, pas ses rivaux » : il a une tendance à diviser le travail pour éviter d'être remis en cause par l'un de ses collaborateurs. Il crée ainsi des besoins de coordination interne, qui entraînent une charge de travail supplémentaire, puis l'embauche de collaborateurs supplémentaires. On construit ainsi un système « autarcique » qui va consommer, de manière endogène, une part croissante de l'énergie disponible, conduisant à la deuxième force ;
  2. « les fonctionnaires se créent mutuellement du travail ». Plus il y a de fonctionnaires, plus les demandes d'approbation qu'ils se communiquent mutuellement, ou tâches comparables, les occupent de sorte que le travail accompli d'un point de vue extérieur par l'administration dans son ensemble n'augmente pas ;
  • le troisième élément, qui peut également être considéré comme une validation expérimentale, est son analyse des évolutions des personnels de deux ministères britanniques (Marine et Affaires Coloniales) qui met en évidence une progression constante des employés malgré une importante diminution des attributions de ces ministères.

À partir de ces trois éléments, il construit sa fameuse loi qu’il énonce ainsi (en page 12 de l’édition originale) :

it now becomes possible to state Parkinson’s Law in mathematical form: In any public administrative department not actually at war, the staff increase may be expected to follow this formula: … (ndlr. ici, une formule mathématique délirante X = (2*k^m + a) / n )… This figure will invariably prove to be between 5.17 per cent and 6.56 per cent, irrespective of any variation of the amount of work (if any) to be done.

Dans la langue de Corneille, cela pouraît donner :

il devient désormais possible de présenter la loi de Parkinson sous une forme mathématique simple : dans une administration publique qui n’est pas engagée directement dans des actions de guerre, l'augmentation des effectifs peut être définie par la formule suivante : (ici, la même formule mathématique délirante)… Cette valeur sera toujours comprise entre 5,17 % et 6,56 %, indépendamment de toute variation de la quantité du travail (éventuel) à effectuer.

La loi de Parkinson est donc la loi qui prédit l’augmentation inéluctable des fonctionnaires avec un taux d’environ 6% par an, indépendamment de la quantité de travail à fournir ou même de sa simple légitimité.

Dans son livre Parkinson’s Law And Other Studies In Administration, C. N. Parkinson propose également deux autres lois :

  • la loi de futilité : dans un comité financier, plus le budget discuté est important, moins on y passe de temps, et inversement (appelée également loi du local à vélos) ;
  • le coefficient d’inefficacité : il définit le nombre critique des membres d’un cabinet ou conseil des ministres, nombre à partir duquel ce cabinet ministériel devient inefficace. Ce chiffre est toujours compris entre 19,2 et 22,4.

L'entreprise dans laquelle je fais actuellement des piges satisfait à l'ensemble de ces trois lois. Mais je m'aperçois de plus en plus qu'il manque une quatrième loi pour la décrire parfaitement, loi que — en toute modestie — je propose d'appeler la loi du Grincheux.

En effet, je constate que tous les niveaux de hiérarchie décisionnelle sont occupés par des sociopathes au sens médical du terme. Je constate aussi qu'il y a un turn over non négligeable, des départs volontaires et des démissions en assez grand nombre.

Pour connaître un peu mieux les gens, je constate que les plus faibles psychologiquement démissionnent car l'ambiance de travail est assez déplorable. C'est la démission ou le suicide. Les plus forts essaient de se battre pour faire avancer les projets, mais selon le principe de Dilbert, ils restent à des postes où, non seulement ils sont surchargés, mais aussi où ils n'ont aucune perspective de promotion, les postes hiérarchiquement plus élevés étant occupés par des incompétents. Mais la loi de la sélection naturelle étant la même pour tous, les plus faibles sont déjà partis et les plus compétents sont à leurs chères études car il faut bien faire fonctionner l'entreprise. Les incompétents sont donc ceux qui ont pu résister assez longtemps dans cet univers. Ce sont donc des incompétents sociopathes.

Ainsi dans un environnement de stress, la sélection par la résistance au stress fait qu'au bout d'un certain temps, tous les postes décisionnels sont occupés par des sociopathes incompétents.

 

Caisses de retraites

14.04.14 | par Le Grincheux | Catégories: Mauvaise humeur, Je hais les financiers, Je hais les politiciens

Ce matin, je suis allé voir ma caisse de retraite de près. J'ai l'immense chance d'être assuré pour ma retraite à la CIPAV, la Caisse Interprofessionnelle de Prévoyance et d'Assurance Vieillesse. Je connaissais déjà leurs locaux, cela n'a pas changé, nos cotisations sont bien employées.

Je suis arrivé à l'ouverture, il y avait déjà, comme l'aurait dit le Père Duval, une foule immense devant moi.

N'imaginez pas en allant à la CIPAV vous retrouver devant un guichet. Il faut déjà montrer patte blanche et papiers d'identité à l'accueil, que cet accueil vous autorise à monter dans les étages, recommencer votre explication à l'accueil du bon étage et faire la queue jusqu'à ce qu'une personne sans doute payée pour se faire engueuler vous recoive.

Et ce matin, des engueulades, il y en eut.

Mon cas était assez simple. La CIPAV vient d'augmenter considérablement mes cotisations. Alors que les cotisations RSI et l'URSSAF ont été salement augmentées en fin d'année dernière, cette caisse de retraite m'a appelé des cotisations du double de l'an passé (dont un rattrapage sur l'année 2012 à la suite d'une augmentation rétroactive de je ne sais plus quelle cotisation). Je désirai juste régler cet appel en trois fois, chose qui n'a pas été possible au téléphone puisque pour discuter avec quelqu'un, encore eut-il fallu que ce quelqu'un daigne décrocher.

Second problème à régler. Une entreprise m'a proposé un poste en CDI à cinq minutes à pied de chez moi, au centre de Paris. Au tarif en question, il serait de ma part idiot de renoncer. Je cherchais donc à savoir à quelle sauce j'allais être mangé. Et je ne fut pas déçu.

Deux cas se présentent. Soit j'opte pour une déclaration de fin d'activité et tous mes appels cotisations sont caducs, soit je conserve mon numéro de SIRET pour une activité annexe qui impose d'octroi de cotisations à la CIPAV, ce qui revient tout de même à avoir deux cotisations de base et deux complémentaires, l'une en libéral et l'autre en salarié. Il paraîtrait qu'elles se cumulent, mais je vais me renseigner un peu plus sérieusement auprès d'une personne qui n'est ni juge ni partie. Le montage financier frôle le surréalisme dès que l'on sait que la cotisation de base pour la retraite est payable de l'année sur l'année alors que la cotisation pour la retraite complémentaire est payable sur l'année n en fonction de l'exercice n-2. En d'autres termes, je paie aujourd'hui mes cotisations retraite de base pour l'année 2014 et les cotisations retraites complémentaires pour l'année 2012. Or j'ai vérifié, le premier appel forfaitaire de la CIPAV contenait bien un appel de cotisation forfaitaire pour une cotisation retraite complémentaire.

En conclusion, soit je ferme totalement mon activité de libéral et je m'asseois sur deux années de retraite complémentaires sur deux grosses années de revenus, soit je garde mon numéro de SIRET et je vais payer l'an prochain quelques 10000 € de cotisations retraites pour une activité qui ne me rapportera sans doute pas cette somme.

Logique et français.

 

Dérapage sémantique

13.04.14 | par Le Grincheux | Catégories: Mauvaise humeur

Hier, à Paris, se tenait la première manifestation de la gauche de la gauche. Vingt-cinq mille manifestants contre l'austérité d'après la police, cent mille selon les organisateurs, vraisemblablement quelque chose entre les deux.

La gauche de la gauche.

J'aime assez la différence d'appréciation entre la gauche de la gauche et l'extrême droite que l'on n'appelle pas la droite de la droite. Sans doute que la gauche de la gauche est une périphrase qui fait un peu moins peur que l'extrême gauche.

Pourtant, l'extrémisme de gauche n'est pas meilleur que celui de droite. À regarder de près, en dehors des boucs émissaires qui ne sont pas les mêmes, les programmes d'extrême gauche et d'extrême droite sont assez semblables et, à vrai dire, très simplistes. Nous ne sommes jamais responsables de la situation actuelle qui est toujours due, non à nos négligences depuis une trentaine d'années, mais à des tiers parfaitement identifiables (patronat, étrangers…) et les solutions sont toujours les mêmes : sortie de l'euro alors que cela ne donnerait qu'une bouffée d'air passagère par une dévaluation puisque nous importons nos produits depuis l'Asie, confiscations diverses et variées (par l'impôt, par les nationalisations…), préférence d'une certaine catégorie de la population vis à vis des autres et j'en passe.

Les deux sont des populismes dangereux et il n'y a aucune raison de traiter différemment la gauche de la gauche de l'extrême droite.

 

Protection intellectuelle

12.04.14 | par Le Grincheux | Catégories: Mauvais esprit

Vous le savez, ou vous ne le savez pas, je fais actuellement des piges dans une entreprise — que dis-je une start'up au mauvais sens du terme — qui considère que ses produits doivent être créés dans le secret le plus absolu.

En soit, c'est louable.

Il y a juste quelques petites choses qui me dérangent. D'une part ses produits sont fabriqués en Chine et pour éviter de se faire voler sa technologie par les chinois, l'équipe de développement en arrive à chiffrer les programmes embarqués sur les microcontrôleurs à l'aide d'une carte SIM vendue séparément et associée à un équipement précis. Autant ne pas chiffrer parce que les microcontrôleurs exécutent des programmes en clair, donc à un endroit ou un autre l'algorithme de déchiffrement en clair puisqu'il ne peut pas se déchiffrer lui-même, et que rien n'empêche un chinois mal intentionné d'acheter à la fois un produit et la carte SIM correspondante et de faire ce qu'on appelle assez plaisamment d'ailleurs du reverse. La clef étant connue, il suffit de percer l'algorithme utilisé pour récuperer tous les bouts de programmes embarqués. Passons, ce n'est qu'une question de temps.

D'autre part, cette entreprise n'a pas investi dans un serveur de messagerie propre et sécurisé. Elle utilise Gmail… Donc un service parfaitement sécurisé qui ne passe pas par les caves de la NSA et qui permet d'envoyer à tous les sous-traitants les secrets de fabrication, les plans et tous les documents confidentiels et nécessaires.

Ce ne serait pas risible sans la présence d'un officier de sécurité (sic) qui vient nous rappeler régulièrement à grands renforts de slides ce qu'il faut faire pour éviter de dévoiler des informations à des tiers ou à des concurrents.

Commencez donc par utiliser des services sécurisés en interne. Cela ne coûte pas plus cher. Et cela éviterait des fuites.

 

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