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Le ver est dans la pomme

05.09.11 | par Le Grincheux | Catégories: Mauvaise humeur, Je hais l'informatique, Je hais les financiers

J'ai eu l'occasion d'entendre la semaine passée sur France Inter une émission dans laquelle un invité faisait l'éloge d'Apple. C'était un exercice de style tant il prenait la défense contre vents et marées de la marque à la pomme et vouait un culte à Steve Jobs. Il allait jusqu'à prétendre que son remplaçant était un incapable et n'arriverait pas à la cheville de son illustre prédécesseur.

Et ce qui devait arriver arriva. Un auditeur a brutalement mis les pieds dans le plat en notant que dans le matériel estampillé Apple, les batteries n'étaient pas amovibles et qu'il fallait soit passer par le service après-vente officiel de la marque soit remplacer le matériel vu le prix du changement de la batterie si celui-ci n'était plus couvert par une quelconque garantie.

Nous avons alors pu assister à une superbe séance de rattrapage aux branches en direct sur l'antenne. C'était beau et presque jésuistique. Entendre quelqu'un prétendre qu'Apple avait fait cela dans le seul but de protéger l'environnement pour éviter que les batteries ne terminent dans la nature sans être recyclée était un immense moment de radiophonie qu'il faut à tout prix conserver pour les générations futures.

Je ne vois pas ce qui empêche les iPhones, iPads et autres iBidules en plastique de terminer dans une poubelle avec leur batterie lorsque l'appareil n'est pas jugé économiquement réparable par son propriétaire. Je ne vois pas non plus, mais ça doit être dû à mon esprit chagrin, l'intérêt de ne pas pouvoir débrancher une batterie d'iBook lorsque le Mac fonctionne sur secteur. Peut-être est-ce fait dans le but de fragiliser cette batterie ?

L'argument était toujours le même : c'est pour que Apple puisse récupérer les batteries. Et pourtant, cet argument est spécieux. Rien n'empêcherait Apple de faire comme Sony, de tatouer ses batteries pour que les seules batteries fonctionnelles dans les iMachins soient fabriquées par Apple. Rien n'empêcherait Apple de consigner ses batteries ou de n'en vendre une qu'à partir du moment où le client lui rapporte la batterie hors d'usage. En fait, plus je réfléchis, moins je ne vois de justification au fait d'avoir une batterie inamovible sur un appareil électronique.

Remarquez, le problème est le même avec les baladeurs numériques. Les premiers n'avaient pas de mémoire interne et demandaient une carte mémoire. Lorsque la mémoire flash tombait en panne (c'est le premier truc à tomber en panne avec la batterie), on changeait la carte en gardant l'appareil. Là, aujourd'hui, lorsque la batterie tombe en panne ou que la mémoire flash flanche, on change le tout. Et sous couvert d'écologie. C'est vraiment beau, le progrès !

 

23 commentaires

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Commentaire de: Atg
Atg

“Soigner le fruit, ça risque de prendre du temps. Je préfère tuer le ver.”

Il y a bien longtemps que les Apple sont devenus de véritables arnaques. Je le sais, j’en ai 5 chez moi. Les docks se fendillent, les cartes graphiques rendent l’âme, les batteries des Iphone s’obstinent à déposer le bilan. La moindre pièce coûte un bras, la moindre extension, câble, adaptateur de port est vendu au prix de l’or. Aucune garantie ne fonctionne. Bien entendu, tout est archi verrouillé, pas la peine de sortir la caisse à outils. Quand aux performances, le plus cher des Macbook fait piètre figure face à ses concurrents.

Le principe Apple est le tout-en-un : tu manges apple, tu chies apple, tu te torches apple, et éventuellement tu tentes de faire un peu d’informatique avec apple.

La démarche Apple est le clickodrome, plus exactement le pouceodrome. On se demande encore pourquoi ils fabriquent encore un clavier. Sans doute car les touches sautent facilement et que leur remise en place découragerait un névrosé obsessionnel le plus tenace.

Pourquoi donc utiliser une telle merde ?

Eh bien, à cause des femmes ! Oui, disons-le tout net, une femme a, sauf quelques intellectuelles beauvoiriennes en voie de disparition, horreur des bidouilles informatiques.

Comment donc s’amuser avec un ordi tout en satisfaisant madame ? Apple. Un système unix avec tout ce qu’il faut par défaut (vim, emacs, screen, bc, R etc.) et des dispositifs efficaces pour Madame, clickodromes, mise à jour des données en reseau (mobileme etc.).

Je ne connais pas de systèmes (windows, linux, bsd) qui permettent autant de paix conjugale que ce qui est proposé à grand frais certes, par Apple.

07.09.11 @ 10:43
Commentaire de: Artémise
Artémise

Comment faites-vous pour ne pas arriver à remonter les touches d’un clavier apple ? C’est bien plus facile qu’avec un PC, il suffit d’avoir une pince à épiler, même l’handicapée chronique que je suis y arrive !
Au demeurant, les seules touches de mon macbook que j’aie eu à remettre en place, je les avais enlevées toute seule comme une grande (je suis un peu bête parfois).

(bon, vous me direz, ça confirme votre propos : il faut une pince à épiler, donc un truc de filles :) )

07.09.11 @ 11:32
Commentaire de: Le Grincheux

C’est un clavier IBM type M qu’il te faut. Le bon vieux clavier lourd, modèle à assommer les ours, aux toucher et confort incomparables (et au bruit caractéristique, un petit clac bien net entre l’Underwood ou la Mercedes - la machine à écrire pas la voiture - et la branche qui casse). Il n’est pas donné mais il est endurant. J’en ai vu résister plus de quinze ans à des étudiants. Heureusement, un constructeur alternatif les a repris :
http://pckeyboards.stores.yahoo.net/cu104ps2.html

Il faudrait peut-être que j’en achète un ou deux avec connectique USB et sans les touches Windows dont je n’ai que faire.

Sinon, je dois bien avoir quelques clavier SUN de type 7 avec connectique USB. Ça fonctionne parfaitement sur un Mac et c’est assez confortable. Moins qu’un IBM, mais largement mieux que tout ce qui se fait actuellement…

07.09.11 @ 12:51
Commentaire de: Atg
Atg

Les touches faciles à remonter ? Je ris ! Vous avez tous perdu des touches pour affirmer cela. Déjà, c’est bien la preuve de la fragilité des Macbook.

Mais dans votre malheur, vous avez eu la chance de perdre des touches pas trop fourbes. Celles des lettres par exemple. Mais les pièges sous les touches tels PgUp, c’est une autre paire de manche.

Les bidules en plastique mou qui tiennent (enfin tentent de faire tenir) les touches sont bien entendu blanc. Un blanc translucide.

Seul un animal a une vision assez subtile pour voir ça. Elles s’emboîtent en diagonale avec la même simplicité que l’agencement d’une molécule. Une petite merdouille de la taille d’une tête d’épingle qui fait ressort, blanc bien entendu (blanc sur fond blanc, Malevitch a dû passer par là) ne demande qu’à vivre sa vie hors de son emplacement d’origine.

Effectivement, je ne me ballade pas avec une pince à épiler, une épingle à nourrice et ma trousse maquillage tous les jours, sauf quand je fais des passes pour payer mes charges de profession libérale, car sodomie pour sodomie, je préfère encore choisir.

D’ailleurs, y a plein de sites web qui tentent d’expliquer comment remettre ces foutues touches. Ces sites relèvent davantage de la fameuse “cellule psychologique” après une catastrophe que de l’aide efficace (sauf pour les touches de alphabétiques de base).

Parlons des Ipads. J’ai du me fendre de cet achat pour ne pas passer auprès de ma fille pour un père indigne. Je n’aime pas utiliser le mot “fendre” quand je parle d’un produit Apple, ça porte la poisse. Le bidule est vendu nu. Il tombe, c’est foutu.

Dans sa générosité légendaire Apple propose d’acheter un protège Ipad (avec des couleurs qui ont fait la célébrité de la marque). Le truc est absolument génial. Au niveau marketing j’entends. Ce machin se met sur l’écran en venant se coller sur un bord par un système d’aimants. Si tu attrapes l’ipad en saisissant machinalement sa protection, il valdingue par terre !

J’ai acheté donc un “vrai” protège ipad, un truc en vague peau de chèvre mal tannée. Au prix d’une chèvre, mais sans la viande.

Le chargeur des Macbook. Je ne les compte plus. C’est par palette que je les prends. Ils déposent tous les armes. L’autopsie est impossible, tout est serti. Regardez l’épaisseur du câble sur la partie la plus fragile. Je m’en sers de fil dentaire à l’occasion.

Les docks des Macbook blanc se fendillent. Apple a reconnu le problème. Génial. Ils se fendillent après un peu plus d’un an d’utilisation. Devinez à partir de quelle durée la garantie ne joue plus pour faire changer gratuitement ces docks.

Les logiciels made Apple ne sont pas triste non plus. Itunes qui permet accessoirement d’écouter de la musique ou de visionner un film est d’abord une plateforme d’achat. Difficile à contourner quand on veut mettre à jour IOS sans relancer 10 fois le téléchargement. Il est à peu près aussi rapide au lancement qu’Eclipse.

La suite Iworks. Le tableur est génial. Beaucoup moins de capacités que le mode tableur d’Emacs. Il ne permet même pas de ré-ordonner par ordre alphabétique une liste de choix.

Iweb. Pour entrer une ligne de code, il faut acheter IwebEnhanced. Sinon, grosso-modo, c’est pas possible, c’est pas dans la philosophie mac du glisser-déposer.

Imovie et Iphoto. Déjà faut virer les fonds par défaut, genre biche-au-bois, la musique d’accordéon en fond sonore, les rouleaux qui se foutent par défaut sur tous les appareils connectés pour peu qu’on ait oublié les paramétrages retors d’itunes.

GarageBand, j’ai pas essayé. Y’a le mot garage. De suite, je pense panne et facture, je n’ai plus envie de bidouiller de la musique sauf une marche funèbre au pire.

Non, si apple ne plaisait pas tant aux quilles et n’offrait (biffer, et mettre “vendait” à la place) un vague système Bsd…

08.09.11 @ 07:06
Commentaire de: Artémise
Artémise

Ah non, moi j’avais juste renversé du thé sur mon clavier, et j’avais voulu tout démonter pour sécher l’ordinateur.
Donc j’avais tout démonté. Et remonté à la pince à épiler.

Bon en fait, c’était une connerie, fallait porter le bidule à la réparation, mais j’ai toujours considéré mon macbook comme solide, pourtant je l’ai baladé tous les jours pendant trois ans, assaisonné de poussière d’archives, il est tombé deux fois et fonctionne toujours à merveille.

J’ai effectivement dû changer une fois mon chargeur de batterie (10 euros sur priceminister) en trois ans, rien à voir non plus avec les 80 euros de câble que j’avais dû raquer deux fois en un an pour la batterie de mon vieux PC.

Bien entendu je ne dis pas que les ordinateurs d’Apple soient d’une qualité exceptionnelle par rapport aux autres. Oui, on paye le design (mais pour le mien, je m’en fous, on me l’a offert, j’ai rien payé :) ).

La suite mac n’a effectivement pas de quoi se rouler par terre mais pour les neuneus de l’informatique comme moi, c’est bien pratique : effectivement tout le monde n’a pas envie de se faire suer, hommes comme femmes. C’est un peu comme pour la cuisine, il y en a qui vivent très bien en ne mangeant que du surgelé et des boîtes, je préfère pour ma part cuisiner davantage mais quand on n’a ni le temps ni l’envie ni les capacités…

Sur le reste, je suis en revanche bien évidemment d’accord avec le fond de l’article, le coup des batteries et des raisons écologiques, c’est foireux. Un peu comme les types qui vous expliquent pourquoi à chaque fois que vous rachetez un téléphone portable, il faut racheter le chargeur et tout le cirque.

08.09.11 @ 09:47
Commentaire de: Le Grincheux

Un vague BSD, comme vous êtes gentil… MacOS X est une sombre bouse dès qu’on le regarde comme un unixoïde et qu’on essaie de l’utiliser en tant que tel. On m’a demandé un jour de porter une application qui fonctionne quasiment sous tout Unix digne de ce nom (même sous OpenBSD, c’est dire !) vers MacOS X 10.5. J’ai donc installé un hackintosh dans un qemu. Ça fonctionne plutôt pas mal une fois passé le problème de l’installation qui vérifie qu’on installe bien le truc sur un matériel estampillé Apple.

Le problème est qu’il faut après installer Xcode, et encore, pas un Xcode récent parce que les logiciels Apple sont encore plus péremptibles que les produits Microsoft. Mais Xcode ne comprend même pas un compilateur Fortran. De l’Objective-C, pur produit de la pomme, ça, il y a. Mais un compilateur aussi bête qu’un compilateur Fortran alors que Xcode utilise gcc, il n’y a pas. Il faut donc bricoler pour avoir une chaîne de compilation digne de ce nom avec le gcc 4.0 de base qui compile un gcc 4.2 capable de s’interfacer sans trop de problème au gfortran 4.5 qui est téléchargeable je ne sais plus trop où en binaires compilés pour MacOS X.

J’étais donc content, j’avais une chaîne de compilation complète C/C++/Fortran et je pouvais m’attaquer à la compilation des 279 Mo de sources du programme en question. Et là, rien ne fonctionnait correctement. MacOS X est vendu comme un Unix, qui plus est suivant les spécifications Unix03. Vaste fumisterie, il manque des tas de choses pour en faire un Unix, comme, entre autres, les sémaphores anonymes ou un serveur X digne de ce nom.

MacOS X, c’est un Unix Canada Dry. Ça a le goût d’un Unix, ça a l’odeur d’un Unix, mais ce n’est pas un Unix. Ça n’est pas un Unix parce que c’est un système d’exploitation à noyau hybride et non, comme le prétend Apple, à micro-noyau. Le noyau est pollué par un tas d’"unixismes” qui n’ont rien à faire là et ce que ce noyau (XNU) ne sait pas faire, personne chez Apple n’a trouvé le temps ou l’intérêt d’implanter sous le prétexte fumeux du “expliquez-nous ce dont vous avez besoin, nous vous expliquerons comment vous en passer !".

Résultat des courses, il faut faire des efforts certains pour porter les applications strictement POSIX ou Unix03 sur MacOS X dès que l’on commence à faire de la programmation un peu subtile. Mon esprit chagrin me souffle que c’est certainement voulu par la pomme qui fournit un système largement plus stable que MacOS classique, mais en limitant la portabilité des logiciels non Apple.

Il y a encore quelques années, j’envisageais d’acheter une machine de développement à base de deux processeurs G5. C’était vraiment du bon matériel. Aujourd’hui, j’ai beau regarder, je ne vois pas vraiment de machine comparable dans le catalogue Apple d’autant plus que la pomme n’est plus qu’un vendeur de PC tatoués. Pour le prix d’un portable Apple correct, autant acheter directement un portable Toshiba haut de gamme, ça fonctionne tout aussi bien, ça embarque d’origine deux disques durs (montés chez moi en Raid1 soft sous un Unix quelconque) en même temps qu’un lecteur optique, et surtout, ça fonctionne correctement.

08.09.11 @ 09:52
Commentaire de: Le Grincheux

J’aimerais bien savoir ce qu’étaient ces 80 euros de câble. Le problème est que l’on compare trop souvent Apple (actuellement du PC de gamme moyenne) avec de l’entrée de gamme de constructeurs chinois qui fabriquent du PC jetable. Il faudrait pourtant comparer la moyenne gamme d’Apple avec la moyenne gamme des vendeurs corrects de PC (donc des marques comme Lenovo ou Toshiba) et surtout pas avec le tout venant (Acer, Hewlett-Packard, Packard-Bell…).

Personnellement, j’ai eu de l’IBM (un PS/2 modèle P70 de 1991 avec son écran à plasma) qui fonctionne toujours. J’ai du Toshiba depuis une quinzaine d’année car à l’endroit où je bossais à l’époque, les achats fournissaient du Toshiba standard lorsqu’on avait besoin de matériel durci parce que ce matériel était résistant et fiable. Je n’ai pas été déçu depuis. Mon premier Toshiba (un 4060XCDT) a été utilisé pas loin de dix ans en restant allumé 24h/24 (sauf dans l’avion) et est allé au fin fond du désert saoudien à plusieurs reprises. Seule la batterie a donné des signes de faiblesse. Jamais l’alimentation n’a posé de problème et il fonctionne toujours. Je l’ai remplacé par un P200 qui subit le même traitement sans broncher alors que le MacBook pro acheté à la même époque pour un peu plus cher (400 € de plus) a déjà fait deux aller-retours au SAV d’Apple pour un clavier et un écran. Je ne compte pas le changement de batterie qui est du consommable.

08.09.11 @ 10:02
Commentaire de: Artémise
Artémise

Malheureusement, c’était pour un Toshiba prêté par une amie au moment où mon vieux Packard Bell (une infâme daube qui a royalement fonctionné huit mois). Le câble d’alim avait rendu l’âme… un ami a eu la même mésaventure, même motif, même punition (mais 90 euros de câble d’alimentation pour lui)
Je vous avoue n’avoir trop rien pigé à ce que m’avait raconté le type qui m’avait vendu le câble donc je me suis peut-être fait arnaquer mais le fait est qu’avant cet achat, ça marchait pas, et après, ça marchait.
Je ne sais plus ce qu’était ce Toshiba, c’était en 2005 ou tout début 2006, impossible de vous en dire plus. Mais c’était censé être une belle bestiole.

08.09.11 @ 10:43
Commentaire de: Atg
Atg

Artémise achète chez PriceMinister. C’est pas du jeu ça ! Faut acheter sur AppleStore. Sinon moi je vais au Emmaus qui refourguent tout ce qui a été volé dans la semaine, à ce compte-là.

C’est pas que j’hésiterais à racheter de la came volée (je suis une profession libérale hein…), mais dès que les bulgares aux pifs rouges vaguement chritianisés des Emmaus voient du matos Apple arriver, ils prennent des airs de grands seigneurs et font flamber les prix.

Qu’un portable marche après s’être cassé la gueule, c’est normal. On le paie pour ça. Il paraît que les ordis pour les mômes du tiers monde, ces machins couleur vert et blanc, sur lesquels Stallman et les programmeurs d’amérique latine ont tant investi, résistent à des tirs au mortier, d’où le fait que ce sont les militaires qui les récupèrent et non les mômes, bien que l’âge des militaires dans ces pays soit souvent anormalement bas.

La suite Iworks est un saucisson. Il ne faut pas l’utiliser. Il ne faut surtout pas utiliser la suite MsOffice (sur mac, c’est un carnage). Encore moins OpenOffice. En fait, il ne faut jamais utiliser d’Office.

A quoi sert un traitement de texte ? A rien ! Un format txt sur vim/emacs ou lorsqu’il faut de la décoration, une feuille de style et du Html, ça suffit amplement. On convertit tout ça en pdf si vraiment on tombe sur un pénible et adieu le traitement de texte.

Un tableur ? Ca sert à rien ce truc. Dès qu’on pond une macro en VBA ou RealBasic, ça va merder de toute façon un jour ou l’autre. Si on fait des calculs, on prend un logiciel de maths, si on gère des infos, une base de données. Adieu le tableur et ses histogrammes à la con.

Une bouse comme Keynote (un avatar de Powerpoint en soi-disant plus light, ce qui n’est pas un exploit) est un crime contre la pensée. Dès que je vois un powerpoint, je sais qu’on veut m’entuber, c’est mathématique.

Je n’ose pas parler de Photoshop qu’adorent les macqueux. Rien que de prononcer son nom, ça fleure bon l’ado en pleine éruption cutanée. Il y a le mot “Shop", c’est ça qui doit leur plaire, question de conditionnement.

Reste donc le vague Bsd derrière tout ça. Heureusement que contrairement au Grincheux, je ne suis pas un programmeur professionnel. J’aime perdre. Je joue aux échecs ou au go contre l’ordinateur et c’est Verdun. Je programme mais je mets trois plombes pour comprendre une évidence. Donc le machin qui ressemble à du Bsd et ses utilitaires habituels en gros fonctionnent pour moi.

Mais il est certain qu’en fait sans Xcode3, voire maintenant sans Xcode4, ce n’est pas la peine d’insister. Quel que soit le langage de programmation, il est sous-entendu chez Apple qu’on passera par la case Xcode à un moment donné.

J’ai bien mis NetBsd sur un vieux Fujitsu Siemens (je ne connais pas d’ordinateur aussi pourri que ceux de cette marque), je me suis dit “perdu pour perdu", mais déjà trois jours pour comprendre les fourberies du clavier et des caractères accentués, faut avoir envie. Je ne sens pas le coup pour la reconnaissance des périphériques type appareil photo, caméra et autres gadgets.

Au moins avec Apple, c’est simple : aucun Bsd ou Linux ne peut fonctionner dessus jusqu’au bout. Même les distributions grand guignolesques style Ubuntu. En virtualisation, j’ai essayé TinyCore, OpenBsd et Archlinux. C’est lent, c’est chiant.

En résumé, le vague Bsd d’Apple, ça sert pour s’amuser. Pas pour programmer. Même vim trouve le moyen de merder avec python, c’est tout dire.

08.09.11 @ 14:34
Commentaire de: Le Grincheux

NetBSD, pourtant, c’est assez simple. Sur x86, il demande l’encodage du clavier à l’installation. Quant à l’encodage sous X, ça se règle en deux coup de cul hier à Pau (dixit Riton IV) dans le fichier /etc/X11/xorg.conf qui se crée tout seul à la première invocation de X -configure.

08.09.11 @ 14:41
Commentaire de: Artémise
Artémise

Atg, vous êtes bien conscient, j’imagine, que vous me parlez en chinois.

Je conçois que pour un informaticien, évidemment, le traitement de texte ne serve à rien, s’il y a des choses qui marchent mieux.
Mais encore une fois, on peut faire le comparatif avec la cuisine : c’est très simple, de faire du pain, il suffit d’avoir une tête entre deux oreilles, et pourtant vous allez probablement chez le boulanger pour acheter votre baguette. C’est très simple de faire une forêt noire (si, vraiment, en plus) et pourtant pour le repas de famille vous allez aussi l’acheter chez le boulanger. Pourquoi ? Parce que vous n’avez pas envie de vous faire chier à faire des trucs que d’autres font très bien pour vous ? Parce que ce n’est pas votre métier ?
Plus adapté au sujet, mon mari se fiche régulièrement de ma gueule quand il voit que j’ai créé mon petit blog avec une plateforme dédiée à cela. Lui, il a créé son site, un vrai. Bon, très bien. Mais moi je n’ai ni le temps ni les capacités pour cela. Et puis ça ne m’intéresse pas des masses, alors que le processus de fabrication de la forêt noire, beaucoup plus, curieusement. A noter que mon mari, lui, se fout complètement de ces histoires de forêt noire.

Pour faire ma thèse, j’utilise Open office (sur mon mac (oui (et ça marche (si, je vous assure, j’ai une fois fait un fichier de 800 pages qui tournait parfaitement bien)))) parce que… j’ai déjà assez de boulot comme cela, je n’ai pas le temps de me pencher sur de la technique. Pour mes cours, j’utilise Power point, parce que ça me permet de montrer des images à mes élèves, ça m’évite d’avoir à trimballer douze livres d’art.
On peut apprécier de bricoler avec Iphoto parce que ça permet de redresser un cadrage un peu pourri, jouer au photographe.

Bien sûr, ces outils ne sont QUE des outils, il y a sûrement mieux, de là à agonir d’insultes la suite mac, il y a un pas… n’oubliez pas que “tout ce qui est exagéré est insignifiant".

08.09.11 @ 15:37
Commentaire de: Le Grincheux

Artémise, prière de NE PAS écrire de LISP sur ce blog ! Quant à OpenOffice et un document de huit cents pages, j’ai l’habitude de dire qu’un marteau, c’est très pratique pour enfoncer une vis lorsqu’on n’a jamais vu de tournevis…

Sinon, ma forêt noire, j’ai plutôt tendance à l’acheter chez un pâtissier, moi…

08.09.11 @ 15:52
Commentaire de: Artémise
Artémise

Comme Monsieur Jourdain, je fais du LISP sans le savoir (puisque je ne sais pas ce que c’est, je reconnais humblement mon ignorance).

Open Office, vous savez, c’est surtout pratique quand on est fauché et qu’on n’a pas 150 euros pour acheter Word et sa petite bande.
Et puis, “bôh, ça marche toujours", comme j’ai coutume de dire.

De toute façon mon mac plante depuis un quart d’heure, je suis sûre que c’est vous qui l’avez marabouté à force d’écrire des méchancetés sur Apple : figurez-vous qu’il refuse de s’allumer s’il n’est plus branché sur le secteur, maintenant ! Ah, vous pouvez être fier de vous !

Pour la forêt noire, il y a de très bonnes recettes sur Marmiton et au moins on peut mettre moins de crème que chez le pâtissier. Voire changer d’alcool et ne pas être obligé de se farcir du mauvais schnapps de grande surface qui ressemble à de l’alcool à brûler - j’ai même essayé avec de l’amaretto une fois et c’est plutôt pas mal. Ceci pour finir sur une note qui n’avait rien à voir avec la choucroute.

08.09.11 @ 16:13
Commentaire de: Le Grincheux

Mais qui donc a prétendu qu’il fallait remplacer OpenOffice par MS-Office ?

08.09.11 @ 16:18
Commentaire de: Artémise
Artémise

Ah, mais personne ! Seulement, quand on n’y connaît rien… on prend ce qu’on trouve ! Et on prend Open Office, d’autant qu’au Ministère, on aimait beaucoup Open Office quand j’ai acheté mon ordinateur - maintenant, on ne jure plus que par Libre Office, je n’ai pas bien compris pourquoi mais apparemment, c’est une affaire très grave.

08.09.11 @ 16:23
Commentaire de: Le Grincheux

TeX, c’est bon, mangez-en !… Quant à LibreOffice, c’est une scission du projet OpenOffice depuis que la politique de Sun, pardon Oracle, est devenue déplorable.

08.09.11 @ 16:37
Commentaire de: Atg
Atg

La batterie du macbook d’Artemise vient de déposer le bilan. Normal. C’est la apple’s way of life. Tu n’as plus qu’à aller sur AppleStore car là, je ne crois pas que tu en trouves sur PriceMinister… Je n’ai jamais changé de batterie sur un Pc mais j’en suis à ma troisième sur macbook.

Les nanas prétendent que les hommes sont feignants (et veules, menteurs, lâches etc.). Pour la fainéantise, c’est vrai. On doit trouver une explication génétique à ce petit travers bien sympathique par ailleurs.

Donc c’est du haut de notre fainéantise qu’on te dit qu’utiliser un traitement de texte est une pure folie. En plus, pour rédiger une thèse… C’est qu’on a déjà donné, l’air de rien. L’argument financier ne tient pas : jamais personne n’a acheté Word ou la suite Office, ça se saurait. Quelle perte de temps, quelles emmerdes on a dû gérer avec ces foutus traitement de texte. En général, on ne voit pas le coup fourré au début. C’est après qu’on comprend sa douleur.

Pour une thèse, vu qu’il faut imprimer et qu’on a souvent affaire à des glands qui ne connaissent rien au sujet et qui donc vont attaquer la forme, on peut se sacrifier sur la gamme TeX et LateX.

Sinon pour le reste (les cours par exemple), on utilise un simple éditeur et, pour les grands jours, on code en html. Ce qui est d’une très grande simplicité. Tes élèves pourront même consulter tes cours sur ton site avec les jolies images. C’est autre chose qu’un stupide powerpoint (ou keynote ou impress).

Faire des cours, sauf si tu as des cadors en face de toi, c’est chiant. Tu n’apprends rien puisque justement c’est toi qui fait le cours (au mieux tu as appris en le préparant). Et qu’on me raconte pas que chaque étudiant est intéressant en lui-même, que c’est à chaque fois différent. Non, c’est chiant un point c’est tout. C’est uniquement l’obligation ou l’obsession de l’argent qui pousse à donner des cours. Donc, avec l’habitude, on s’amuse à pervertir l’activité pour moins s’emmerder et apprendre quelque chose.

Tu utilises certainement la machine du diable, à savoir le redoutable vidéo-projecteur. Il ne sert en général à rien si ce n’est te pourrir la vie, surtout s’il faut le trimballer. Vu la sournoiserie sur le prix des lampes, je me demande même pourquoi Apple ne s’est pas lancé sur ce créneau. Un tableau blanc et un feutre suffisent toujours.

Ou alors, puisque tu as un mac et que les merdeux en face ont automatiquement un téléphone portable avec connexion internet, tu crées un réseau ad-hoc d’un coup de souris, ils atterrissent sur ton site et hop, ils ont ton cours en html, tes images etc. En plus, tu seras populaire.

Tu ne sais pas le faire ? Eh bien, c’est merveilleux ça ! Tu vas pouvoir apprendre plein de chose distrayantes qui vont considérablement te faciliter la vie.

Apprendre à faire la pain ou une forêt-noire. Déjà, sur une omelette ou un plat de nouilles, je suis à fond. Cela ne ferait pas partie de mes priorités car le gain de temps serait nul ou en ma défaveur. Le gain d’argent : nul voire aussi en ma défaveur. Le gain en apprentissage, pourquoi pas. Mais je préfère changer moi-même la courroie de distribution de la bagnole : je suis gagnant en temps (si je comptabilise tout) et en argent, là il n’y a pas photo. Et bien entendu, en apprentissage.

Donc, sur toutes ces considérations sur Apple, Bsd etc., n’oublie pas qu’on est des feignants expérimentés et sur tout ce qu’on a pu nous vendre sur la “simplicité", “l’intuitivité", on s’est rendu compte qu’on s’est fait arnaquer profond en croyant à un moment donné à ce langage d’épicier.

Sur Openoffice, on savait tous qu’il y avait du louche avec Sun. Ca n’a pas fait un pli, Oracle s’est jeté dessus et à commencé à faire un gros chantage sur MySql. On avait pourtant prévenu à l’époque. Avec Apple, le ver est vraiment dans le fruit aussi.


08.09.11 @ 18:13
Commentaire de: TuxMips
TuxMips
*****

dites moi ?

Sur un Iphone? est il possible d’écouter du .flac et du .ogg ?

Bon OK
je |________> sors

:-)

08.09.11 @ 23:03
Commentaire de: Artémise
Artémise

> Atg,

Eh bien, oui, ma batterie a lâché, mais pour un ordinateur de presque six ans, c’est pas malhonnête. Pendant ces six ans, mon mari a tué deux ordinateurs… deux ordis deux fois moins cher, oui, mais à force…pour le coup, je crois plus écologique de n’utiliser qu’un ordinateur au lieu de deux, pour le même prix ! (si tant est que l’argument écologique puisse tenir dans le cadre de l’informatique)

J’estime que je n’ai pas à mettre mes cours sur internet car cette pratique, extrêmement à la mode, n’aboutit à l’université qu’à vider les amphis et à dissuader les étudiants de prendre des notes - résultat, ils n’apprennent plus leur cours.
Le powerpoint, je continuerai à l’utiliser, car je me vois mal dessiner un Rembrandt ou un Poussin à la craie sur un tableau noir, et je préfère que les élèves voient les oeuvres quand j’en parle plutôt qu’après.

Ce qui est valable pour les uns ne l’est absolument pas pour les autres, vous voyez ?

Et comme vous, je concentre mes efforts sur ce qui m’intéresse et me fait vraiment gagner du temps et de l’argent : quand je vois l’énergie dépensée par mes petits camarades pour faire des bases de données et des éditions de textes sous LaTeX, si je n’en ai pas expressément besoin, je m’en passe.

09.09.11 @ 09:45
Commentaire de: Le Grincheux

Vous m’excuserez, mais c’est idiot. Effectivement, utiliser une vraie base de données ou un vrai logiciel de traitement de texte demande un apprentissage. Mais ça évite de perdre un temps fou à chercher à avoir un résultat correct. En consacrant un peu de temps à l’apprentissage d’outils corrects, on en économise sur le moyen et long terme. J’ai plusieurs exemples comme ça :

1/ Le directeur de thèse de ma femme qui est venu un jour avec une disquette contenant, croyait-il, la sauvegarde de sa base de données sur les étrangers en France (de mémoire). J’ai du lui dire qu’il avait tout perdu.
2/ Une collègue de ma femme, qui est venue un jour avec une pile de disquettes pour que je lui convertisse sa thèse en vue d’une publication. Les disquettes étaient issues d’un Mac oldworld. Ça s’est terminé par un achat d’un PowerMac 8600 (qui est toujours au garage) pour pouvoir relire le format de la disquette, ce format ayant été abandonné par les Mac après 1998, par un piratage d’une certaine version de Microsoft Office 98, seule version à pouvoir relire ces fichiers (les versions Windows refusaient, Openoffice plantait, bref, c’était joyeux !). Et au passage, je l’ai un peu mauvaise parce que le Mac a été de ma poche (avec le voyage à Meaux pour le récupérer), que je n’ai pas compté les heures de boulot et que j’ai juste eu un merci timide.
3/ Quelqu’un d’autre qui voulait absolument récupérer une base Access vieille de dix ans. Chose impossible ! La base est en lecture seule et à moins d’avoir la version exacte d’Access avec laquelle cette base a été créée, elle restera en lecture seule !

Tout ça pour dire que je préférerais toujours un format texte (dump SQL, TeX, html…) que je pourrai récupérer dans vingt ans, si Dieu me prête vie, à un format binaire jetable. Et personnellement, je n’aimerais pas passer autant de temps sur des études et considérer les documents comme jetables. Sous TeX, on fait une bibliographie avec bibtex, c’est fait pour cela, et on garde la même bibliographie quels que soient les documents que l’on écrit. Le logiciel se débrouille tout seul pour restreindre l’impression de la bibliographie aux seuls renvois cités effectivement dans le document.

Quant à présenter des oeuvres à des élèves, pourquoi ne pas simplement utiliser un fichier de type PostScript avec Ghostview. On économise même de la place sur les disques puisque le fichier de visualisation peut parfaitement être le même que celui qui servira à l’impression.

On en revient donc à ma métaphore du marteau et de la vis.

09.09.11 @ 10:08
Commentaire de: Artémise
Artémise

De toute façon, le meilleur moyen de conserver un document, c’est le parchemin. Le parchemin, ça résiste à tout, à la pluie, au froid, au temps : ça peut rester 500 ans dans une cave et ressortir tout beau et lisible. Une disquette…

Vous savez ce qu’il vous reste à faire :)

09.09.11 @ 10:17
Commentaire de: Le Grincheux

Personnellement, j’ai des bandes SLR et DLT qui me garantissent mes données pour au moins une centaine d’années. Ça prend moins de place et ça évite de pleurer lorsque le disque dur du portable part en vacances pour une raison indéterminée…

09.09.11 @ 10:43
Commentaire de: Atg
Atg

Ca doit être un peu hs, mais bon on tente le coup.

Un cours est une pièce de théâtre. Rien d’autre. J’ai suivi des cours en amphi et j’en ai donnés par la suite. C’est un gaspillage incroyable de temps et d’énergie. L’étudiant se sent plus ou moins obligé d’y aller. C’est un cérémonial obsolète. Si on donne à quelqu’un les thèmes, la biblio et les documents, il n’a aucunement besoin d’un cours. D’un TP ou un TD si, mais d’un cours, non.

A une seule exception : si le prof te donne les résultats de ses recherches actuelles qui ne sont pas encore publiés. C’est pas tous les jours qu’on a ce genre d’exclusivités !

C’est donc soit une corvée, soit du théâtre. Le théâtre peut être essentiel : il peut donner envie, motiver les étudiants, les divertir. Mais pas leur faire réellement comprendre et apprendre quoi que ce soit, en tout cas de la manière la plus économique.

J’ai vu des tas de “profs” cacher leurs sources, se montrer radins dans la bibliographie et chercher des bouquins devenus des incunables car ils savaient très bien que sans ce chantage, on aurait simplement dit aux profs : par ici la doc, on se charge de la lire chez nous ou au bar du coin.

Donc, mets tes cours sur un site web et laisse les étudiants se démerder. S’ils viennent assister à tes cours en fac, c’est que tu es bonne comédienne ou que tu as une plastique agréable. Ou alors que ce sont de grands flippés qui ont besoin d’être rassurés.

Prendre des notes ? Malheureuse, y’a rien de pire. On prend des notes dans un cours ou on surligne un bouquin quand en fait on s’emmerde. Tu prends des notes quand tu lis un roman palpitant ? Pourtant tu t’en souviens parfaitement et tu es capable d’en analyser toutes les thématiques et la stylistique. Prendre des notes, c’est la plupart du temps se faire croire à soi-même qu’on travaille.

Avoir un réseau ad-hoc en wifi où tout ce fatras de cours, docs est disponible libère l’étudiant. On peut espérer alors qu’éventuellement, il se mette à réfléchir.

Je crois qu’il faut apprendre aux étudiants à travailler comme ils seront obligés de le faire lorsqu’ils seront des professionnels. On apprend sans arrêt dans la vie professionnelle et souvent de manière encore plus intense que lorsqu’on était étudiant.

Professionnel, tu t’imagines perdre trois plombes pour te déplacer, aller écouter un prof, jouer au gratte-papier ? Non, tu prends tes bouquins, tes articles sur la bibliothèque, sur internet, tu mémorises vite et bien car tu es en train de réellement travailler, tu en as réellement besoin, tu ne joues pas à une comédie devenue, je crois, totalement dépassée.

09.09.11 @ 18:35


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