« Manu, un ami qui vous veut du bien | J'ai testé pour vous » |
Je ne vous ai pas oublié. Loin de là.
Je n'ai pas été supprimé par un sicaire ou un séide de la sécurité sociale averti par un sycophante de ce qu'il s'écrit en ce lieu, rassurez-vous. Aucun problème de santé non plus. Ma haine du monde ordinaire en général et de ce qui devrait me servir de beau pays en particulier ne s'est pas émoussée. Et j'ai toujours un tas de sujet de grincherie en retard.
Je vous prépare simplement une petite surprise et cette surprise sortira jeudi 20 septembre 2018.
En effet, à force d'être pris pour un imbécile par les juridictions sociales, j'ai décidé de changer de braquet. Avec quelques autres personnes, nous avons écumé les archives tant nationales que départementales, nous avons lu et relu les textes de loi et les journaux officiels, nous avons travaillé, creusé sans relâche. Grâce à ces travaux, je saisis aujourd'hui les juridictions pénales dès qu'un magistrat tord le droit, utilise des ordonnances non ratifiées pour me débouter ou ose faire une entorse au code de procédure. Et on peut dire que certains magistrats ont depuis quelques jours un réveil pénible. Après tout, un magistrat est là pour dire le droit et non s'ériger en défenseur d'un système.
Le 20 septembre 2018, les journalistes auront tout le dossier sécurité sociale dans les mains. Ils n'en feront peut-être rien. Un mois après, le dossier sera dans les mains du public.
Il s'agit d'un scandale d'état. D'un scandale juridique et financier que tous les gouvernements depuis la IVe République — que dis-je ? — depuis le GPRF ont couvert pour acheter la paix sociale au travers des syndicats dits représentatifs.
Un beau teaser, non ?