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Jusqu'à présent, je considérais que les chiffres obtenus par les organes officiels français étaient sincères. Or j'apprends ce matin par un syndicat de médecins (pour qui je relis régulièrement des publications scientifiques) la chose suivante. Le ministère de la santé pousse au maximum à ce que les patients positifs au covid avec un début de désaturation en oxygène restent à domicile le plus longtemps possible pour ne pas plomber les chiffres des vaccinés en réanimation. Cela a été confirmé par plusieurs infirmiers libéraux qui traitent ces patients comme ils le peuvent, c'est-à-dire avec les prescriptions d'usages (Doliprane !). Ni zinc, ni vitamines, ni antibiotiques à large spectre pour éviter une surinfection bactérienne.
Toutes les statistiques que j'ai donc présentées ici concernant la France sont biaisées et elles le sont en faveur des gens non vaccinés. Nous vivons dans un délire criminel.
Quoi qu'il en soit, en moyennant les biais de différentes sources, on peut s'attendre, la loi des grands nombres aidant, à obtenir des tendances plus réalistes et plus honnêtes. Je vais présenter ici une infographie honnête faite par Dominique Peretti à partir des chiffres officiels de la mortalité (sources VAERS), je vous laisserai conclure.
La question est de savoir si les morts reportées par les statistiques de VAERS sont purement des coïncidences malheureuses ou s'il y a une tendance de fond.
Posons les choses. L'agence Reuters nous indique que ces statistiques ne prouvent pas que les vaccins sont responsables de ces morts. Très bien, mais dans ce cas, si cette assertion était vraie, nous aurions une distribution homogène des décès, ce qui n'est trivialement pas le cas dans l'exemple de répartition uniforme (au sens de reutérien du terme) présenté plus haut. Dans les statistiques VAERS se trouvent des données complètes. En particulier, on y trouve le type de vaccin administré, la dose et le nombre de jours entre l'injection et le décès.
La moindre des choses que l'on puisse constater est que ces distributions ne sont pas homogènes. Si les vaccins ne provoquaient rien, vue la taille des échantillons, on devrait avoir une répartition homogène en fonction des classes d'âge (comprendre un dégradé de gauche à droite) et non des paquets de données en bas à droite de chacun des diagrammes.
Plus étrange, les différents vaccins ne provoquent pas les mêmes résultats en fonction de la dose (première ou deuxième). En effet, si pour le Pfizer, les résultats semblent identiques
il n'en est rien pour le Moderna
où les décès apparaissent bien plus vite après la deuxième dose qu'après la première. La réaction semble donc plus violente.
Pour fixer les idées et vérifier que les tailles des échantillons ne sont pas signifiants, l'auteur va tracer deux séries de diagrammes. La première série représente les données réelles incluant le type de vaccin. La seconde série garde des échantillons de mêmes tailles mais en rendant le type de vaccin aléatoire.
On se rend compte que l'effet observé est bien corrélé au type de vaccin et non à la taille de l'échantillon (1166 pour Pfizer, 761 pour Moderna). L'auteur regarde ensuite ces cohortes en retirant l'âge des données.
Le vaccin Janssen semble être le moins dangereux (répartition plus uniforme), ce qui pourrait s'expliquer par la technique de génération de la protéine spike (vecteur viral pour Janssen, ARNm pour les deux autres). La létalité semble aussi être corrélée à la quantité d'ARNm injectée (Pfizer 30 mcg, Moderna 100 mcg).
Je ne doute pas un seul instant que personne n'ait fait dans les ministères ou des comités Théodule divers et variés ce genre de travail élémentaire. Malgré cela, malgré le fait que l'on sache maintenant que la vaccination ne fonctionnera pas ou très marginalement, on s'avance gaiement vers une vaccination obligatoire à grands coups d'ARNm pour toute la population, enfants compris.
Conclusions ?
Si vous n'avez pas suivi, allez vous inscrire pour une troisième dose immédiatement.