« Une telle incompétence, ça se travaille | Recherche asile fiscal » |
La nouvelle a pu vous échapper. Selon des chercheurs britanniques, dans les prisons de la dictature chilienne, les détenus politiques subissaient à plein volume toutes sortes de chansons populaires. Subissaient, c'est bien le mot, tant ces chansons de cette époque étaient pour le moins contestables.
Selon la même étude publiée pour le quarantième anniversaire du coup d'état de Pinochet, cet instrument de torture utilisait entre autre des chansons de Julio Iglesias et de Dalida, la bande originale du file de Stanley Kubrick Orange Mécanique ou la chanson My Sweet Lord de George Harrison. De telles choses à hautes doses et à fort volume peuvent en effet briser n'importe qui. Ce n'est pas humain. Il ne manque dans cet inventaire à la Prévert qu'un peu de Tino Rossi. Oui, je n'aime pas Tino Rossi. Pour être tout à fait franc, je le préfère lorsqu'il chantait en tant que ténor d'opéra que dans sa période de roucoulance gluophonique.
Donc Dalida est coupable. Je le savais. Ne reste plus maintenant qu'à lui couper la tête ! Lorsque ce sera fait, on pourra penser aux sévices à infliger au crooner espagnol.
Dans les goulags staliniens, Jean Ferrat était aussi utilisé de manière particulièrement sadique.
Je rappelle tout de même que Jean Ferrat était bien jeune lors de la mort du petit père des peuples et qu’il n’a jamais été encarté au parti communiste français.
Dommage que Christophe Maé soit arrivé si tard……
A mon avis il aurait été d’une redoutable efficacité.
Ne vous en faites pas trop. La relève des dictatures est actuellement en route.