Je hais le quatorze juillet. Non parce qu'il s'agit de la fête nationale, mais parce qu'il y a la semaine qui précède des répétitions de manifestations diverses et variées.
Il se trouve place de la République, à Paris, une caserne de la garde républicaine. Ce ne serait pas gênant en soi si le le véhicule favori de la garde républicaine n'était un quadripède à sabots ferrés. Churchill disait avec justesse de cet animal qu'il était dangereux aux deux bouts et inconfortable au milieu. Je rajouterais pour ma part qu'il est aussi particulièrement bruyant.
Hier, cette répétition de défilé a commencé vers 23h30 et a duré au moins une demi-heure. Je ne sais pas combien de sabots ça pouvait bien faire, mais la réverbération contre les bâtiments du boulevard du Temple de ces claquements de sabots ferrés sur le bitume était d'autant plus insupportable qu'il faisait affreusement chaud et qu'il était inconcevable d'essayer de dormir avec les fenêtres fermées.
Cette répétition interdisant la circulation sur le même boulevard de tout autre véhicule, les petites rues du Marais se sont trouvée encombrées comme rarement, d'autant plus qu'il fallait choisir avec attention son côté puisque, si le boulevard était interdit à la circulation, il était aussi impossible à traverser.
En d'autres termes, nous avons assisté hier soir à une pagaille rare indigne de tout ordre militaire. Elle aurait été parfaitement gérable si quelqu'un avait pris la peine d'avertir les riverains, les automobilistes et les chauffeurs de la RATP. Or, rien n'a été fait. Tout le monde s'est trouvé devant un fait accompli en se débrouillant pour faire au mieux.
En voyant ce genre d'opération, gérée de bout en bout par l'administration militaire du commandement de Paris, on ne peut plus s'étonner de la défaite de Sedan, de la débâcle de 1940 ou du désastre de Diên Biên Phù. Dormez en paix, brave gens, votre sécurité est assurée…
Mon curé de paroisse est quelqu'un de spécial. Il faut dire à sa décharge que ma paroisse étant l'une des plus petites de Paris, elle est considérée par l'archevêché comme une paroisse d'exil où l'on peut envoyer tous les curés qu'il serait impossible de mettre ailleurs. La conséquence immédiate, c'est qu'on se retrouve toujours avec des curés très particuliers. Et c'est un euphémisme.
Il paraît que les paroissiens de cette communauté ont toujours quelque chose à reprocher à leur curé. Sachant que l'archevêché colle chez nous des curés à problème dont il ne sait que faire, l'explication est pour le moins bancale. J'ai pratiqué plusieurs communautés paroissiales et celle-ci est la meilleure que j'ai pu cotoyer. Elle fonctionne même tellement bien que plusieurs piliers viennent des paroisses environnantes.
Nous avons donc chez nous une succession de curés bizarres. Le dernier en date et non des moindres, prétend être diplômé de l'UTC en 1992 ou 1993 alors qu'il est diplômé de l'ESTP en 1989. Je me suis mis à douter de ces dates lorsque j'ai eu connaissance de sa date d'ordination. Comme je suis membre du CNISF, le reste des informations a été facile à trouver. Pourquoi prétendre avoir été diplômé par une école de seconde zone à une date ultérieure ? Ce n'est pas grave en soi, mais cela montre déjà un côté du personnage et j'aimerais assez savoir quel est l'intérêt pour lui de raconter pareille chose.
Lorsque j'aurai ajouté qu'il tient absolument à sa messe des anges que personne de l'assemblée ne sait plus chanter et à sa soutane lorsque les dignitaires de l'église le visitent, le tableau sera complet. Ce qui m'amuse personnellement et ferait retourner dans sa tombe mon vieux professeur de latin, c'est le fait qu'il ne comprend pas un traitre mot à ce qu'il peut scander en latin. Il est capable de faire des césures et des respirations à des endroits totalement baroques — par exemple entre un substantif et son adjectif qualificatif épithète —, ce qui est vous l'admettrez sans doute une faute de goût dans une église classique.
Donc, ce curé est là parce qu'il fallait bien le mettre quelque part et que, quitte à ce qu'il fasse des dégâts, autant que ces dégâts soient circonscrits à une petite paroisse. Ça fera moins de mal, c'est déjà ça de pris. Au bout de six ans, il sera muté dans une autre paroisse et on aura peut-être quelqu'un de plus sain. Peut-être…
Entre temps, il faut bien faire avec ce personnage. En dehors de deux punaises de sacristie et de trois grenouilles de bénitier, plus personne ne peut le voir. Entre les diffamations qu'il fait circuler — même à l'égard de son ancien vicaire qu'il a fini par faire partir —, ses prises de position sur des sujets historiques alors même qu'il n'a aucune espèce de culture générale, son attitude vis à vis des paroissiens allant jusqu'à l'agression verbale en habits liturgiques à la fin de la messe dominicale, l'ambiance est devenue lourde, très lourde.
Pour parachever le tableau, je dois dire que j'étais membre du conseil pastoral et chef de chœur. Je m'occupais de la chorale — qui avait entre nous atteint en quelques années un assez bon niveau puisque France Culture avait décidé de nous enregistrer — et j'avais été nommé au conseil pastoral par ce curé. Du jour au lendemain, je n'étais plus qualifié pour m'occuper de cette chorale. J'ai juste quatre premiers prix de piano et un premier prix d'orgue, fait quelques années de chant, mais ce n'est pas grave, ça me permet de récupérer deux soirées de répétition par semaine et de me lever une demi-heure plus tard le dimanche. À partir de ce moment, les arguments ont volé tellement bas à l'encontre du noyau paroissial, qui s'occupait de presque tout, qu'il a bien fallu en référer à sa hiérarchie.
Aucune réponse de l'archevêché. Enfin, si, une confirmation du curé en tant que tel parce que, comprenez-vous, c'est une charge canonique et que de toute façon, on n'a personne à mettre à sa place. Je veux bien qu'un évêque d'un diocèse de province me dise ça. Il y a dix ans, un curé de l'évêché de Saint-Claude avait déjà en moyenne plus de dix clochers de campagne. Mais qu'un responsable de l'archêché de Paris puisse dire une telle chose alors que dans certaines paroisses parisiennes, on compte cinq ou six prêtres, c'est incompréhensible.
Nous avons donc dû continuer à faire avec ce curé. Couvert par sa hiérarchie, il s'est senti beaucoup plus fort et l'ambiance n'a cessé de se dégrader. Le conseil pastoral a envoyé un second appel au secours à l'archévêque. La réponse a été complètement surréaliste. Ce dernier nous a demandé de faire cesser les rumeurs, ragots et diffamations — tout de même, ne l'oublions pas, émis principalement par le curé actuel —, les médisances et surtout de faire bloc autour du curé pour le défendre contre vents et marées parce que la paroisse ne nous appartenait pas (sic).
Que la paroisse ne nous appartienne pas, je n'en disconviens pas. Cependant, elle appartient encore moins au curé qui n'est là que pour six ans (règle édictée par Monseigneur Lustiger). Au bout de six ans, lorsque tout est détruit, les paroissiens se retrouvent avec un nouveau curé et doivent reconstruite une unité. Qu'il faille, d'après l'évêque, défendre le curé contre vents et marées est proprement scandaleux. C'est avec ce genre de pratique qu'on arrive à toutes les affaires qui ont éclaboussé l'église. Lorsqu'une paroisse a des problèmes bien identifiés avec son curé, que tous les paroissiens ont été témoins un jour ou l'autre de ses incartades, on n'enfouit pas ces problèmes. On les regarde en face et on essaie de trouver une solution. Personne ne prétendait dans cette histoire vouloir faire partir ce curé, simplement trouver une solution pour l'aider et faire que la paix revienne.
Dans notre cas, l'évêque a dissous le conseil pastoral. Le curé est toujours en place et continue son travail de sape. Il lui reste deux ans pour parfaire son œuvre de destruction systématique. Je ne suis pas vraiment sûr que l'église ait besoin de ça.
J'utilise Solaris depuis très longtemps. Malgré cette longue pratique, je n'arrive toujours pas à comprendre comment ce système d'exploitation gère sa mémoire. Outre le fait que ce système se mette à utiliser la mémoire virtuelle alors qu'il reste plusieurs gigaoctets de disponibles en mémoire vive, les mécanismes d'allocation et de libération de la mémoire laissent sérieusement à désirer.
Selon les utilisations, j'ai le choix entre la libmalloc, la libmtmalloc, la libumem, la libbsdmalloc et certainement d'autres que j'oublie. Toutes ces implantations de malloc() utilisent l'appel système sbrk() même pour de grands blocs de données. Ce n'est pas grave en tant que tel, mais il ne faut pas oublier que pour d'obscures raisons de compatibilité, sbrk() n'aime pas les arguments négatifs. La conséquence immédiate est que malloc() alloue de la mémoire généralement depuis le tas et que le free() correspondant ne rend pas la mémoire au système d'exploitation en réduisant la taille du tas, mais renvoie cette mémoire à l'application. Pourquoi pas, après tout ? C'est un choix qui en vaut un autre. Le problème est surtout que les allocateurs de Solaris sont des allocateurs first fit et non best fit, officiellement pour des raisons de performance, ce qui revient à dire que ce système de renvoi de la mémoire à l'application est une aberration.
En effet, lors d'allocations et de libérations de blocs de tailles différentes, ce système concourt à une fragmentation excessive de la mémoire et à une explosion de la taille du processus, la mémoire de celui-ci ressemblant plus à un emmenthal qu'à un gruyère (tout le monde devrait savoir que le gruyère est lainé et ne comporte que très peu de trous). Les différents allocateurs du système se comportent différemment, mais aucun ne donne entière satisfaction. La solution est simple, embarquer dans ses programmes un allocateur externe best fit qui sera capable d'utiliser sbrk() avec des arguments signés et surtout mmap() et munmap() pour des blocs de grande taille. Une bibliothèque comme libptmalloc3 répond à ces critères.
J'ai peine à croire que les personnes qui ont spécifié les appels système de Solaris soient de mauvais développeurs. Sachant qu'il y a de plus en plus de Java dans Solaris — je me demande d'ailleurs bien pourquoi — et que la gestion de la mémoire par Java est notoirement scabreuse, comment peuvent-ils laisser ces fonctions de gestion de la mémoire dans l'état actuel ?
Lorsqu'on voit que SunOS 4.1.2 était à l'aise avec 8 Mo de mémoire sur une SS2, que Solaris 2.5 tournait parfaitement avec 32 Mo de mémoire sur une SS20 et qu'il faut aujourd'hui au minimum 512 Mo de mémoire pour booter un Solaris 10, je me demande si les développeurs d'Oracle n'auraient pas par hasard des accointances avec des fabricants de mémoire.
Quelle ne fut pas ma surprise d'entendre hier matin sur Inter que la SNCF organisait un « speed dating » pour recruter mille collaborateurs. Le journaliste semblait en extase, pensez-vous, mille chômeurs en moins ! Quelques lignes plus tard, on apprend qu'en fait il s'agit de recruter mille personnes pour remplacer les deux mille trois cents qui partent cette année à la retraite. Le compte n'y est donc pas, mais passons.
Je dois avoir un esprit résolument chagrin, mais une telle annonce aurait plutôt tendance à me désespérer. En tant que chef d'entreprise, je suis obligé, lorsque je cherche à recruter quelqu'un, de prévenir l'ANPE devenue Pôle Emploi, qui rédige pour moi des annonces approximative qu'elle diffuse. Elle les diffuse même tellement bien que je croule sous des piles de CVs que je ne mesure plus en nombre de courriers reçus mais en mètres linéaires. Je lis consciencieusement toutes ces lettres de candidature, résumés d'expériences professionnelles aussi utiles qu'un stage de fleuriste pour trouver un emploi d'administrateur système Unix… L'immense majorité de ces CVs ne correspond ni à mes besoins ni aux termes des annonces et je soupçonne Pôle Emploi d'imposer aux chômeurs d'envoyer un certain nombre de condidatures mêmes s'ils savent par avance qu'elles ne pourront être retenues faute d'adéquation entre les besoins de l'entreprise et le profil du candidat.
La SNCF étant soumise aux mêmes textes que moi, je suis sûr qu'elle a pris la peine d'informer Pôle Emploi en bonne et due forme. Le fait qu'elle prenne la peine d'organiser de telles rencontres en louant une péniche à un jet de pierre du Trocadéro et en recevant quelques milliers de candidats me pose plusieurs problèmes de taille.
Si Pôle Emploi diffuse largement des annonces et que les candidats ne sont pas filtrés en amont, la SNCF se retrouve avec des candidatures complètement loufoques à traiter et, croulant sous le nombre, elle ne peut passer que quelques minutes pour recevoir chaque candidat au risque de passer à côté de la perle rare qui n'aura pas su se faire remarquer en aussi peu de temps. Il est aussi possible que la SNCF ayant une habitude certaine et une pratique soutenue de Pôle Emploi ait refusé de perdre du temps avec cet organisme et ait décidé de diffuser des annonces vagues pour trier elle-même les candidats. En effet, avec ou sans annonce précise, les candidatures en provenance de Pôle Emploi n'ont souvent que de très vagues rapports avec les annonces passées. Quitte à avoir du tout-venant, autant ratisser le plus large possible, on trouvera peut-être un candidat intéressant pour un poste qu'on n'imaginait pas.
Deux problèmes cohabitent. D'un côté, Pôle Emploi semble être incapable de traiter correctement les annonces des employeurs et continue à envoyer à peu près n'importe qui en entretien d'embauche. Ce n'est pas un fait nouveau, c'était déjà le cas lorsque cet organisme s'appelait encore ANPE. D'un autre côté, le fait de ratisser large peut aussi signifier que la SNCF peine à trouver des profils intéressants parmi les 4,5 millions de chômeurs ou assimilés français (statistiques provenant des chiffres du dernier trimestre diffusés par Pôle Emploi).
Dans tous les cas, il faut absolument traiter le problème de fond.
Les Laurel et Hardy du syndicalisme — je veux nommer François Chérèque et Bernard Thibault — l'ont dit : en France, le capital n'est pas taxé et pour sauver le régime des retraites, il convient de le taxer. Pas le régime, le capital. J'ai de plus en plus de mal à entendre ce genre de discours. Tant pis si je me fais traiter d'horrible réactionnaire.
Bizarrement, il s'agit toujours de sauver le régime des retraites par répartition, jamais de sauver les différents régimes ni d'amputer les privilèges de certains régimes qui n'ont plus lieu d'être. Un métier peut être pénible, c'est certain. Mais prétendre que la pénibilité du travail du conducteur de train actuel est la même que celle du chauffeur des machines à traction vapeur est au mieux une contre-vérité, au pire un mensonge instrumentalisé car, voyez-vous, syndicaliste, c'est aussi un métier à risque.
L'intérêt des deux duettistes est de garder leurs postes et d'être réélus confortablement par leurs assemblées respectives. Comme j'ai peine à croire qu'ils soient arrivés à la tête de leurs syndicats en étant mentalement déficients, leurs prises de positions et leurs écrits ne peuvent être que destinés à leurs électeurs. J'en arrive même à me demander s'ils croient effectivement ce qu'ils racontent.
Donc, le capital n'est pas taxé. C'est un peu fort et ce n'est pas ce genre de déclaration qui risque de calmer mon ulcère. Le patron de PME tant fustigé — je ne parle pas des grands patrons qui n'ont jamais mis un centime dans l'entreprise qu'ils dirigent — est le didon de la farce économique française. Non seulement il n'a le droit à rien s'il est contraint d'arrêter son activité car, même s'il paie des cotisations à Pôle Emploi, en tant que mandataire social, il n'a le droit à aucune indemnité en cas de chômage. Vous admettrez sans conteste que c'est un autre véritable scandale. S'il ne peut rien percevoir, pourquoi devrait-il cotiser des sommes démentes ? Mais encore, il joue avec son propre argent. Il joue avec son propre argent car il perd tout son capital investi en cas de cessation d'activité et prend même des risques sur un argent qu'il ne possède pas car au mépris du droit, il doit être caution solidaire de tout emprunt bancaire et cela ne semble émouvoir personne. Au passage, je rappelle que les intérêts bancaires sont le salaire de la banque pour sa prime de risque… Les banquiers semblent juste l'avoir oublié ! Pour fixer les idées, j'ai demandé un emprunt à moyen terme (huit ans) de deux cent mille euros pour mon entreprise car il faut éternellement investir pour rester en vie. Ma banque historique que je ne citerais pas m'a demandé sans rire une caution solidaire du double de la somme prêtée, ce qui inclut plus que le capital initial et ses intérêts. Et l'on ose encore parler de responsabilité limitée. Passons.
Il faut aussi rajouter que le régime de retraite du patron de PME n'est pas intéressant et qu'il n'a pas le droit à la sécurité sociale. Considéré comme travailleur indépendant, il n'a le droit qu'à une mutuelle qui le prend en charge au même tarif que la sécurité sociale. Vous me demanderez donc à juste titre pourquoi je râle encore. C'est très simple, la différence se fait sur la part complémentaire car cette part ne peut être incluse dans un contrat de type foyer fiscal ou conjoint salarié et cela coûte très cher chaque mois.
Il convient aussi de signaler que sa rémunération passe en dernier après tous les salaires et toutes les charges diverses s'il reste encore quelque chose en caisse et que les dividendes sont une poudre aux yeux pour amuser la foule. Pour qu'il y ait des dividendes, il faut avoir réalisé ce qu'on appelle comptablement du bénéfice avant impôt. L'impôt en question est l'impôt sur les sociétés au taux de 33,33 % qui devrait sensiblement augmenter en cas de victoire du parti socialiste aux prochaines élections. C'est tout au moins ce qui est écrit aujourd'hui dans leur programme.
Mais ce n'est pas tout. Sur les dividendes qui n'ont pas encore été touchés — et qui ne le seront peut-être jamais si la société dépose son bilan — se rajoutent les CSG et CRDS d'à peu près 16 %, mises en recouvrement dès leur attribution. En d'autres termes, ces deux contributions sont payées bien avant que les dividendes soient versés si tant est qu'ils le soient un jour. Enfin, lorsque ces dividendes sont effectivement versés, ils sont déclarés par le bénéficiaire au titre de son impôt sur le revenu. Bon an mal an, le rendement du capital investi est amputé d'une bonne moitié et le capital lui-même n'est pas défiscalisé puisque pour prétendre l'être, il faudrait que son dépositaire soit imposable sur la fortune au moment de sa souscription et de sa libération, ce qui n'est que très rarement le cas.
La majorité n'a pas raison, elle est la plus forte. En ce sens, je peux encore pardonner à ces deux syndicalistes puisque c'est ce que leurs adhérents veulent entendre et, qu'au final, il s'agit de sauvegarder leurs deux emplois. Je préférerais pourtant qu'ils se battent contre le vrai scandale qui est la retraite des multipensionnés, mais comme cela ne concerne pas leur base, pour l'immense majorité salariée de la fonction publique, c'est ce qu'il est convenu d'appeler un vœu pieux.
Je ne pardonnerais en revanche jamais au journaliste économique qui les a interrogés car il aurait dû les couper pour rétablir quelque vérité.
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