Je ne remercierai jamais assez les développeurs d'Apache. Outre le fait qu'Apache est bien plus mauvais que WASD, j'aimerais qu'ils m'expliquent sans rire pourquoi les fichiers de configuration d'Apache ont subtilement changé de la version 2.2 à la version 2.4. Je n'ose pas penser que c'est dans le but insigne de nous donner un peu de travail, pauvres administrateurs système que nous sommes !
Qu'on ne se méprenne pas, les nouveaux fichiers de configuration n'apportent aucune nouveauté transcendante. Ils font simplement les choses différemment et les valeurs par défaut de certaines constantes ont été modifiées. Sans doute pour suivre la fâcheuse manie de php et éviter l'inaction sclérosante des neurones.
Au moins sais-je ce que je vais faire demain toute la journée. Essayer de remettre d'équerre une configuration qui fonctionnait parfaitement jusqu'à la dernière mise à jour de sécurité d'Apache. De là à penser qu'un Apache sécurisé est un Apache qui ne fonctionne pas, voire un Apache mort, il y a un pas que je franchis allègrement d'un pas svelte.
Qu'il est loin le temps béni de l'adminsitration des PTT ! Dans les années 1970, la moitié de la France attendait le raccordement et l'autre la tonalité, mais les techniciens de l'ancêtre d'Orange ne se moquaient pas encore ouvertement de l'usager qui n'était pas encore un client.
J'ai chez moi deux lignes ouvertes il y a quelques années par ce qui s'appelait encore France Telecom. Deux lignes toutes bêtes, analogiques, avec un téléphone classique sur le réseau commuté et dont les abonnements sont des abonnements professionnels. Sur chacune de ces lignes, j'ai fait installer une liaison ADSL par un opérateur tiers, lui aussi professionnel.
En 2007, j'ai déjà eu des problèmes sur la ligne principale. Pourquoi ? Parce que les sous-traitants de France Telecom payés avec un lance-pierre pour installer de nouvelles lignes trouvent plus rapide d'agrafer les câbles que de les coller et qu'il s'est trouvé qu'une agrafe a écrasé malencontreusement le câble téléphonique provoquant un défaut de ligne. Plus récemment, une agrafe était carrément fichée dans le câble provoquant un court-circuit entre trois paires ! Un léger défaut de diaphonie d'après le technicien qui s'était déplacé. Tu parles !
Depuis avril de cette année, le cinéma recommence. Mes sessions ADSL ne durent sur l'une des lignes qu'au plus quelques minutes. Je ne peux plus téléphoner tant la ligne est mauvaise. Après avoir remonté le défaut au 1015, France Telecom m'informe que la ligne est parfaite et qu'il n'y a strictement aucun défaut. Il me faut voir avec mon opérateur internet.
Je n'étais pas dupe. En tant qu'ancien du CNET, je sais assez facilement reconnaître à l'oreille une ligne à problème. Je décide de jouer le jeu et d'avoir le maximum d'information avant de revenir vers eux pour leur mettre le nez dedans. Je fais donc des tests en double aveugle avec plusieurs modems (Netopia 3346, ZyXEL, Cisco et d'autres plus bas de gamme), plusieurs filtres et en mélangeant les deux lignes. Le verdict est sans appel. Quelle que soit l'association filtre et modem, sur la ligne principale, cela ne fonctionne pas alors que sur la ligne de secours, il n'y a aucun problème.
Mon opérateur internet se retrouve alors à nouveau vers France Telecom qui entre temps était devenu Orange. Là, avec un dossier de tests complet, Orange ne pouvait plus nier le défaut. Du jour au lendemain, ma ligne qui était parfaite est devenue une ligne à défaut d'isolation. Nous étions le 10 juillet.
Ce 10 juillet 2013, un technicien d'Orange effectue quelques manipulations au central téléphonique puis m'appelle pour me donner un rendez-vous que nous avons fixé à ce matin, vendredi 19 juillet à 8h00. Grâce à ces premières manipulations, ma ligne est devenue un peu plus stable, mais ce n'est pas encore cela.
Ce matin, j'attends donc le technicien d'Orange. À 9h00, j'appelle à nouveau le 1015 pour savoir où en était l'intervention. On me propose une option à mon contrat pour avoir une assistance 24h/24 et au bout de quelques minutes, on me signale aimablement que, d'une part, les rendez-vous sont sur des demi-journées et que, d'autre part, il n'y a aucune trace d'une quelconque intervention sur ma ligne. D'après l'opérateur téléphonique, il me faut demander une nouvelle intervention à mon opérateur internet parce que la ligne est parfaite. Pour eux, c'est un problème ADSL.
Là, je m'énerve. Ligne tellement parfaite qu'au cours de la discussion, mon modem Netopia avait déjà perdu trois fois sa synchronisation ADSL et affichait fièrement un rapport signal sur bruit de -2 dB !
Le problème durant depuis avril 2013 et l'opérateur téléphonique me proposant un autre rendez-vous dans un mois — je ne peux pas être disponible avant cette date —, je finis par perdre mon calme. Je passe donc au supérieur de l'opérateur, puis au supérieur du supérieur, et encore au supérieur du supérieur du supérieur. Tout cela pour que quelqu'un tente de trouver une solution à un problème qui ne devrait pas exister. Qu'une intervention ait été oubliée dans leur base de données passe encore, mais une fois que la boulette est faite, la moindre des choses est d'essayer de la rattraper.
Et on est reparti pour un tour, avec prise de rendez-vous, présence obligatoire du client et tutti quanti. J'explique patiemment que c'est impossible, que je ne serai pas là durant un mois, que j'avais déjà prévenu le technicien le 10 juillet et qu'Orange avait intérêt à me remettre d'équerre cette ligne dans la plus brefs délais, c'est-à-dire avant un mois, faute de quoi j'allais réellement m'énerver. On ne parle plus ici d'un petit dysfonctionnement, mais d'un dérangement qui dure depuis avril 2013 et d'un lapin posé par Orange. Et on ne parle pas encore de geste commercial n'ayant plus de téléphone utilisable depuis avril et continuant pourtant à régler scrupuleusement le montant de mon abonnement.
Finalement, un test de la ligne plus tard, le supérieur du supérieur du supérieur convient, alors que j'avais débranché physiquement toute la partie ADSL, qu'il y a effectivement un gros défaut d'isolation et qu'il faudrait un rendez-vous avec présence du client.
On est reparti pour un autre tour. J'explique que ce n'est pas possible, que ce n'est pas de ma faute puisque si Orange avait respecté notre rendez-vous de ce matin le problème serait déjà réglé et que, franchement, je commence à en avoir assez des dysfonctionnements interne d'Orange. Si je traitais mes clients comme Orange me traite, il y a bien longtemps que je n'aurais plus un seul client !
En haussant le ton, j'arrive à obtenir une révision totale de la ligne entre le central téléphonique et mon appartement et en dehors de ma présence. Avec un peu de chance, cela va régler le problème. Reste à savoir quand Orange daignera envoyer son technicien.
La suite au prochain épisode.
Je ne suis pas un adepte forcené de la vitesse même si je préfère largement pour faire de la route ma DS23ie ou ma XM à ma 2CV. Non pour des sombres histoires de confort, la 2CV étant somme toute assez confortable, mais pour leurs capacités à pouvoir rouler sur une autoroute sans se faire pousser dans la première côte par des poids-lourds haîneux. Même si ma 2CV6 est l'une de la série des plus puissante des 2CV jamais fabriquées avec ses 32 ch, elle fait assez pâle figure dès qu'elle quitte les routes nationales.
Depuis quelques jours, on entend que le gouvernement veut abaisser toutes les limitations de vitesse de 10 km/h pour faire des économies de carburant. J'aimerais bien un jour que nos chers élus arrêtent de nous prendre pour des imbéciles. Effectivement, baisser les vitesses de 10 km/h nous permettra de faire quelques économies de carburant, mais cela permettra aussi de remplir un peu plus les caisses de l'état grâce aux radars automatiques qui fleurissent un peu partout ou qui, si vous le préférez, poussent comme les champignons après la pluie.
Je veux bien entendre que cela nous permettra de sauver des vies, je veux bien entendre que cela permettra d'attraper plus de dangereux contrevenants, je veux bien entendre aussi que cela permettra d'aligner nos limitations de vitesse sur celles de la Suisse, mais je ne veux surtout pas que l'on me fasse accroire que c'est dans le seul but d'économiser du carburant. Si le gouvernement voulait à tout prix économiser du carburant, il commencerait à s'arranger pour que le fret ne soit plus routier (79 % des tonnes transportées en 2005 par voie terrestre d'après un rapport gouvernemental, le fret par rail ayant baissé de 15 % entre 1995 et 2005).
En effet, le transport routier de marchandises est en France responsable de la majorité de la consommation de carburant. Je n'ai pas trouvé d'étude précise sur ce point, mais en corrélant les données de l'INSEE sur la consommation des différents carburants à la ventilation des types de véhicules et au nombre de kilomètres parcourus, l'hypothèse n'est pas farfelue. Elle n'est d'autant pas aberrante qu'un porteur chargé à 25 t a une consommation moyenne de 80 l de gasoil aux cent kilomètres et qu'un tracteur attelé à une semi-remorque va jusqu'à consommer 800 l aux cent kilomètres en consommation instantanée pour décoller sa charge.
Si le but est de réduire l'importation de carburant en France, la meilleure façon de faire est de limiter le transport de marchandises par la route, voire de l'interdire sauf pour les derniers kilomètres. Au lieu de cela, que fait-on ? On défiscalise à tout va parce que ces chers routiers risqueraient de bloquer les routes comme en 1997.
Dans cette optique, cette nouvelle limitation de vitesse ne modifiera pas sensiblement la consommation des différents carburants. Elle permet juste de donner quelques gages aux écologistes qui ne s'attaquent déjà pas très fort au lobby du transport routier, de mettre à l'amende un peu plus de conducteurs, et accessoirement de donner des gages aux associations de lutte contre la violence routière. Typiquement une nouvelle mesurette inutile qui ne satisfera personne.
La SNCF et son compère RFF sont de gentils comiques. Non seulement ils sont adeptes de la langue de bois — on se souviendra longtemps du couplet sur la réduction de la vitesse des trains sur la ligne POLT pour que la sécurité soit garantie afin de faire oublier le manque d'entretien patent de la ligne — mais ils ont aussi un grand sens de l'humour. Après tout, il n'y a pas de petites économies.
J'avais un billet de première classe aller et retour, départ le 12 juillet 2013 de la gare de Paris-Austerlitz à 18h59 pour Uzerche, retour depuis Uzerche le 14 juillet 2013 à 18h25. La SNCF dans sa grande bonté m'a promis de faire un geste commercial pour le voyage aller pour raison de retard de 7h30 consécutif à un « défaut de gestion du trafic » (sic). Je ne sais pas comment il ont calculé leur temps de retard, mais personnellement, je n'ai eu que deux heures de retard. En tout cas, j'adore leur façon de manier la litote et les passagers du train accidenté apprécieront.
En revanche, en ce qui concerne le billet retour, j'ai reçu l'information suivante :
Fig. 1 : la SNCF ne se moque pas du monde (en grand)
J'avoue trouver l'explication quelque peu farfelue. L'incident n'est pas imputable à la SNCF. Certes, il est possible de concevoir cela en étant légèrement de mauvaise foi. Personnellement j'ai assez de mal à concevoir qu'une éclisse vérifiée peu de temps avant l'accident ait décidé de son propre chef d'aller faire dérailler un train par pur désœuvrement. N'allons pas jusqu'à dire que la vérification aurait pu être négligente, je ne me le permettrais pas.
La SNCF n'est pas responsable directement de cet accident. Sauf que les conducteurs des trains qui passaient par là trouvaient tous des bruits bizarres au passage de Brétigny. Sauf que personne n'a forcé la SNCF de faire passer ce train Intercités 3680 par Nevers pour le faire arriver gare d'Austerlitz avec un peu plus de 2h30 de retard, je le sais, j'y étais.
Pourvu seulement que cet accident ne soit pas le premier d'une longue série. Hier, à Saintes, un wagon de marchandise a déraillé et s'est couché sur la voie. Sans doute par solidarité plus que par vétusté du matériel ou des infrastructures.
Je ne me considère pas comme un miraculé de la SNCF même si seule une obscure raison tarifaire — les voies des tarifs de la SNCF sont parfois impénétrables — m'a poussé à prendre vendredi dernier le train Paris-Uzerche au départ de la gare d'Austerlitz à 18h59 plutôt que le Paris-Limoges précédent qui a déraillé en gare de Brétigny. Je déplore les six morts et les nombreux blessés. Mes pensées vont aux victimes, pas à la SNCF dont l'attitude a été pour le moins critiquable.
Le déraillement ayant eu lieu à 17h12, je n'ai été mis au courant du problème qu'en arrivant à la gare d'Austerlitz puisque, la ligne 5 du métro étant fermée pour la réfection des viaducs, il me fallait prévoir un peu d'avance. J'avoue avoir été surpris par la façon dont la SNCF a géré cet événement.
Qu'on me comprenne bien, je ne reproche pas à la SNCF cet accident, encore que pour prendre cette ligne assez souvent depuis plus de dix ans, je m'étonne juste qu'il n'y ait pas eu d'accident plus tôt. En effet, pour des raisons financières, cette ligne sur laquelle circulait le Capitole (de Paris Austerlitz à Toulouse Matabiau en 5h56 en 1970 contre 5h35 au mieux en TGV aujourd'hui), la voie entre Paris et Vierzon a été déclassé de 200 à 160 km/h. Quant à la ligne Limoges-Caussade, elle a été déclassée à 120 km/h, tout cela pour ne pas nuire au TGV qui n'arrive qu'à gagner péniblement 21 minutes sur l'ancien Capitole qui roulait pourtant avec des antiques locomotives de la série CC 6500 limitées à 200 km/h en service. Les investissements minima n'ont pas été faits, tout devant passer par le TGV et l'ancienne ligne POLT s'est dégradée considérablement. Elle s'est même tellement dégradée que RFF, contraint et forcé, a dû demander à la SNCF d'annuler des trains en 2012 pour réaliser dans l'urgence les travaux de modernisation nécessaires.
Mais revenons à ce qui s'est passé vendredi soir, jour de départ en vacances. Je suis arrivé à la gare d'Orléans, pardon Austerlitz mais je n'arrive toujours pas à m'y faire, où régnait une cohue indescriptible. Je n'avais encore jamais vu autant de monde dans cette gare et il m'a fallu plus de dix minutes pour comprendre ce qui se passait. Un train avait déraillé en gare de Brétigny. Le problème est que nous étions vendredi soir et que personne à la SNCF ne semblait vouloir régler les problèmes des voyageurs en souffrance. Personnellement, je pouvais rentrer chez moi, mais la plupart des voyageurs présents ce soir-là venaient de l'autre bout de la France pour des vacances dans le sud-ouest et étaient bloqués à la gare d'Austerlitz sans qu'aucun « gilet rouge » de la SNCF ne soit en mesure de les orienter ou même de les rassurer en leur disant que des hôtels avaient été réservés pour eux. La seule réponse était invariablement qu'il fallait se renseigner en téléphonant au 3635. Très bien. Mais le standard du 3635 était surchargé comme l'étaient les réseaux mobiles.
À 19h00, j'arrive à attraper un gilet rouge pour lui demander de m'indiquer s'il y avait un train à Montparnasse pour Poitiers et si, par le plus grand des hasards à Poitiers, il y avait encore une correspondance pour Limoges. À chaque fois que je demande un Paris-Limoges, la SNCF s'évertue à commencer par me proposer un trajet en six heures parce qu'il y a un bout de TGV, je savais donc qu'il y avait un petit espoir de me rendre au moins à Limoges en passant par Poitiers. Réponse affirmative, départ de Montparnasse à 20h01, puis correspondance à Poitiers à 22h24 pour une arrivée à 0h11 le samedi matin. Parfait, je cours à Montparnasse et j'investis un TGV en m'accrochant à une place dite de bureau puisque ce TGV était complet dans les deux classes et que mine de rien, j'avais tout de même payé un billet Paris-Uzerche en première.
J'arrive à Poitiers à l'heure dans un TGV bondé puisqu'il transportait outre ses passagers à réservation obligatoire de sa propre ligne tous les gens qui devaient se rendre à Limoges. Visiblement, la SNCF l'ignorait. À Poitiers, rien n'était prévu pour augmenter la capacité du TER Poitiers-Limoges. Il aurait cependant suffi d'ajouter une seconde rame à la rame prévue. Cela aurait été trop simple. La SNCF a donc affrété deux cars, prétendant que la durée du trajet serait d'une heure et demi. Même en voiture, il est impossible d'effectuer par la nationale le trajet Poitiers-Limoges en un temps aussi court en respectant les vitesses. Passons. Nous arrivons tout de même à Limoges vers les minuit et demi.
Quant au retour, mieux vaudrait ne pas en parler. Départ dimanche d'Uzerche à 18h25. Je n'avais encore jamais vu une locomotive de la gamme SYBIC en aussi mauvais état. La sérigraphie neuve blanche, rouge et grise avait beaucoup de mal à cacher la dentelle de rouille. Arrêts à Limoges, Saint-Sulpice-Laurière, La Souterraine, Argenton-sur-Creuse, Châteauroux, Issoudun, Vierzon. Puis un long, très long arrêt. Le train repart vers le sud direction Bourges, puis Nevers avant de remonter vers Melun. À Melun, je pensais naïvement que nous arriverions à la gare de Lyon. Non, il s'agit d'un Brive-Paris Austerlitz et il convient de faire arriver ce train à Paris-Austerlitz. Ce convoi a donc rattrapé la ligne de Paris-Austerlitz à Juvisy et nous sommes arrivé à Paris avec trois heures de retard. Descendant sur le quai, je m'aperçois que ce train était quasiment vide. S'il y avait une centaine de voyageurs, c'était beaucoup.
Arrivant au bout du quai, vers 1h30, il a fallu râler sévèrement pour que la SNCF daigne faire quelque chose pour nous permettre de rentrer chez nous. Ce fut chose faite grâce à des coupons de taxi. Mais tous les taxis ne les prennent pas et personne n'avait prévu, à la gare d'Austerlitz, de commander de tels taxis.
En d'autres termes, un accident est toujours possible. Encore faut-il en gérer les conséquences chacun à son niveau de hiérarchie ou de compétences. Force est de constater que cela n'a pas été le cas. Quant aux circulations de trains entre Limoges et Paris, pourquoi ne pas avoir simplement fait arriver les trains à Étampes pour terminer avec des rotations de cars plutôt qu'avoir essayé à tout prix de les faire arriver à la gare d'Austerlitz avec trois heures de retard ? Et pourquoi ne pas avoir dévié les trains de Brive vers Poitiers puis Paris-Montparnasse ? Questions qui resteront sans aucun doute sans réponse. Aux dires d'un agent de la SNCF, ce cafouillage est normal parce que des trains de déraillent pas tous les jours. Certes, mais ce que je reproche n'est pas tant le déraillement que l'attitude de la SNCF dans son ensemble. J'ai vu des gestions de crise dans des pays dits pudiquement en développement bien plus efficace que ce qui s'est passé ce week-end.
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