Si vous n'avez pas pris la peine de suivre mes aventures croquignolesques avec l'URSSAF, je vais vous en faire un petit résumé ici. En 2011, ce charmant organisme a encaissé mes chèques mais ne les a pas imputés sur le bon compte cotisant et a décidé malgré mes preuves de débit sur un compte de l'URSSAF de recouvrer les sommes déjà payées grâce à un huissier de justice, lequel a pu constater que lesdites sommes ont déjà été payées, ce qui n'a pas suffit à ce bel organisme. Ni à cet huissier d'ailleurs.
En avril dernier, nouvelle mise en demeure de cet huissier qui me redemandait des sommes déjà payées. Vu le montant, et comme tous les courriers émis par l'URSSAF dans cette affaire étaient antidatés et m'empêchaient dès lors de mettre l'affaire devant le tribunal des affaires sociales, j'ai décidé de payer une seconde fois les sommes demandées (une deuxième devrais-je écrire), ayant calculé que cela me coûterait moins cher de les régler que de faire valoir mes droits.
Début juillet, il me restait huit cent trente euros à régler. Huit cent trente euros d'une somme déjà réglée si vous avez bien suivi. Le 6 juillet, courrier de ce même huissier à mon siège social où je n'étais pas, et comme je n'avais pas répondu le 9, arrivée de l'huissier avec deux témoins et un serrurier — que j'ai tous trois payés — pour effectuer une saisie. N'ayant que du matériel informatique à se mettre sous la dent, l'huissier a décidé de faire une saisie attribution sur l'un de mes comptes courants à hauteur de 8500 euros. J'ai été mis au courant de la chose par la banque avant de l'être officiellement par cet huissier qui savait pourtant parfaitement comment me contacter. Passons.
Là, je perds mon sang froid, j'envoie une bafouille à l'huissier en courrier recommandé en menaçant de porter l'affaire devant la chambre nationale des huissiers de justice, les chambres départementale et régionale étant noyautées par la famille de ce charmant professionnel du droit. Si cela ne suffisait pas, j'étais même prêt à porter plainte pour tentative d'extorsion de fonds. Pas parce qu'il faisait son métier, parce qu'il ne daignait pas regarder mes preuves de règlement. Autant vous dire qu'il n'a pas vraiment apprécié et, bizarrement, il a commencé à m'écouter. J'ai donc réussi à avoir un décompte sur lequel l'URSSAF me demandait sans rire de régler une troisième fois la même somme ! Décompte parfaitement authentique puisque passé non pas par informatique, mais par courrier papier illisible (sic l'huissier), ce qui est contraire au fonctionnement de l'URSSAF. De là à dire qu'il y a un acharnement d'un employé de l'URSSAF contre moi, il y a un pas que je franchirais allègrement d'autant plus facilement que j'ai un nom et que ce n'est pas la première fois. Je passe en effet sous silence les tentatives de prélèvements de sommes indues — deux fois cinq mille euros l'an passé sur un compte personnel — et les documents qui n'ont jamais été reçus par cette charmante personne alors même que j'ai entre les mains un accusé de réception signé de sa propre main !
Là, c'était un tantinet trop. J'ai donc pris mon téléphone et appelé l'URSSAF. On m'a promis que mon message serait envoyé à la direction et que quelqu'un de haut placé dans cet organisme me rappellerait sous quarante-huit heures. J'attends toujours. Autant dire que j'ai rappelé, insisté, pour m'entendre dire que la direction ne rappelait jamais un cotisant quel que soit son problème.
Je me suis donc énervé à plusieurs reprises puisque tous les jours, on me promettait de me rappeler pour traiter le problème jusqu'au jour où je suis tombé sur quelqu'un de moins obtus que les autres et qui s'est engagé à traiter mon problème parce que je lui ai demandé s'il ne fallait pas moi aussi que j'envoie un courrier par huissier au directeur de l'URSSAF, que je porte plainte contre l'URSSAF au travers de son représentant légal pour tentative d'extorsion de fonds ou tout simplement que j'assigne l'employé de base censé traiter mon dossier pour faire fonctionner sa responsabilité civile. Au moment où il m'a dit s'engager à traiter mon dossier dans les plus brefs délais, j'ai dû penser tellement fort « cause toujours, ça fait juste dix-huit mois qu'on me dit ça ! » que mon interlocuteur a dû l'entendre. Il m'a même promis de demander pour moi, vues toutes les carences de l'URSSAF dans ce dossier, une remise des pénalités de retard. Là, je n'y croyais même pas.
Pourtant, hier, au courrier, j'ai reçu un courrier de cet huissier qui me demandait pour solde de l'affaire 865 euros, soit 35 euros de plus que le solde de la somme payée en double — dur de s'y retrouver, n'est-ce pas ? Mais ce qui est est exceptionnel, c'est qu'il n'y avait plus dans ce décompte ni vacation de témoins, ni frais de serrurier pour ouverture de porte et encore moins de frais divers et variés ou de clause pénale.
Comme quoi, on arrive plus facilement à ses fins avec un mot gentil et un revolver qu'avec le mot gentil tout seul et que pour se battre contre ces organismes tous puissants, il faut user des mêmes méthodes et ne pas avoir peur de les affronter ouvertement.
Deux décès à signaler aujourd'hui.
Michel Polac a cassé sa pipe à quatre-vingt-deux ans. Ce n'est pas grave, me direz-vous, on lui en rachètera une autre. En revanche, je ne suis pas sûr que son nouveau régime à base de racines de pissenlit ne soit pas nocif pour sa santé.
Et Marvin Hamlisch, compositeur de musique de film oscarisé, goldenglobisé et j'en passe. On aime ou on n'aime pas les compositeurs de musique de film, personnellement, je trouverais toujours un Léonard Berstein, un Maurice Jarre — pas Jean-Michel parce que je ne peux vraiment pas, le père ! — ou un Bernard Hermann supérieur à tout les compositeurs contemporains et adeptes de la musique expérimentale à écouter avec des boules Quiès.
Ce qui m'a amusé, voire navré, c'est d'entendre ce matin sur toutes les stations de radio que Marvin Hamlisch était le compositeur de la musique du film l'« Arnaque » avec Robert Redford et Paul Newman. J'ai même entendu cela sur Inter lors du journal de 7h30 et à nouveau lors de celui de 8h00 où j'ai même pu entendre le début du ragtime qui berce le film en question. Sauf qu'encore une fois, pas un journaliste ne s'est réellement renseigné en se contentant simplement de relayer une information sans l'avoir vérifiée. Certes, Marvin Hamlisch a bien signé la musique de ce film, mais le présenter comme le compositeur de cette musique est un peu osé. Il n'a fait que les arrangements de musiques qui existaient bien avant lui puisque le thème principal du film est un ragtime de Scott Joplin mort de la syphilis en 1917, soit plus de cinquante ans avant le tournage de ce film !
Signaler que ce compositeur était l'auteur de la musique de ce film est déjà bizarre, ce qui n'enlève rien au talent du compositeur en question. Mais diffuser un morceau de musique qui a simplement été arrangé par lui pour le faire coller à des scènes d'un film est une erreur indigne d'un journaliste débutant.
À moins d'habiter sur une île déserte et de ne pas avoir la radio, cela n'a pas pu vous échapper. Depuis ce matin, on ne parle que de cela. Le travail au noir aurait fait perdre des sommes colossales à la sécurité sociale.
Très bien. Mais comme le travail au noir est justement un travail non déclaré, j'aimerais assez savoir sur quoi se fondent les chiffres annoncés et pourquoi ces chiffres sont justement annoncé en plein milieu des vacances juste après la promulgation de la loi de finance pour 2013. Je dois encore faire du mauvais esprit, il va falloir que je prenne rendez-vous chez mon thérapeute dès la rentrée.
Ce qui est assez amusant dans la situation actuelle, c'est que personne ne se pose la question de savoir pourquoi les gens fraudent l'URSSAF. Il y a pourtant plusieurs cas de figure totalement différents :
Vous allez me dire que ce dernier cas n'existe pas. Pourtant, il est loin d'être anecdotique. Vous ne le savez certainement pas mais l'URSSAF n'est pas tenu à une comptabilité analytique. Ce qui signifie que ce bel organisme est incapable de fournir à un heureux cotisant l'état de son compte dans ses livres. Le législateur, dans sa sagesse infinie, plutôt que de contraindre l'URSSAF à tenir une comptabilité analytique, a laissé la charge de la preuve au cotisant tout en laissant à l'URSSAF la possibilité d'émettre des titres exécutoire de recouvrement à l'attention d'huissiers de justice. Une aberration du droit, mais là-encore, passons.
En langage courant, cela signifie que quel que soit le bordel dans les comptes de l'URSSAF, celle-ci peut demander à un huissier de justice d'effectuer des saisies-attributions sur le compte de cotisants de bonne foi sans aucune autre justification qu'un bout de papier, c'est alors au cotisant, après la saisie, à se retourner vers l'URSSAF pour fournir la preuve des versements et obtenir remboursement. Enfin, remboursement partiel puisqu'il ne faut pas compter sur l'URSSAF pour prendre en charge les frais occasionnés par les commandements de saisie-attribution, de saisie-vente et j'en passe. Encore faut-il que ces preuves aboutissent ailleurs que dans la corbeille à papier la plus proche.
D'un côté, je suis déjà dubitatif sur la méthode puisque je trouve particulièrement cocasse de devoir prouver à un tel organisme ses erreurs et qu'il n'ait en aucun cas à se justifier. Ce qui est en revanche totalement surréaliste estle fait que ce bel organisme se contrefiche joyeusement des preuves qu'on peut lui apporter et ne daigne pas répondre aux courriers recommandés qu'il a pourtant reçus, l'accusé de réception faisant foi pour parler en patois pététique.
Je me débats depuis plus d'un an avec ce genre de problème et je pense demander à un huissier de justice d'apporter en main propre au directeur de cet organisme mes récriminations, quitte à le traîner par la suite devant un tribunal civil voire correctionnel puisque tous les courriers que j'ai reçu depuis plus d'un an de l'URSSAF sont tous systématiquement antidatés de plus de trois semaines — le cachet de la poste faisant là encore foi — m'interdisant d'aller devant le tribunal des affaires sociales. Mais je ne suis pas le seul dans ce cas et ce matin, j'ai reçu un coup de téléphone d'un ancien petit patron dont l'entreprise est en liquidation judiciaire. Je ne sais pas quelle était l'activité exacte de cette entreprise, mais celle-ci est en liquidation judiciaire sur injonction de l'URSSAF depuis plus de deux mois et était une société à responsabilité limitée. C'est important pour la suite. L'homme en question était désespéré puisque les salaires de juin et de juillet qui auraient dû être réglés par le liquidateur ne l'ont pas été, celui-ci ayant préféré régler l'URSSAF avant tout, n'ayant pas fait fonctionner la garantie des salaires et se retournant maintenant vers l'ancien patron pour régler deux mois de salaires et les charges afférentes à tous ses salariés (plusieurs centaines de milliers d'euros).
D'une part cette société était à responsabilité limitée, donc dès la liquidation et sauf erreur de gestion, ce qui implique un jugement d'un tribunal quelconque, aucun organisme ne peut se retourner vers l'ancien chef d'entreprise. Mais d'autre part, il est inadmissible qu'un liquidateur judiciaire, mandataire de l'entreprise en question n'ait pas demandé à ce que joue la garantie des salaires pourtant réglée tous les trois mois à Pôle-Emploi.
Si cet homme arrive à s'en sortir, que pensez-vous qu'il adviendra ? La prochaine fois, il fraudera. Pas parce que c'est dans sa nature profonde, simplement parce qu'une fois qu'on s'est fait avoir par l'URSSAF et qu'on a été broyé par sa machine infernale et toute puissante sans aucune raison valable, on se venge comme on peut.
Que n'entend-on pas depuis quelques jours à propos de l'usine Citroën devenue PSA d'Aulnay-sous-Bois. Le ministre du redressement productif y va même de ses petites phrases et promet un plan pour relancer le secteur automobile français. Pourtant, il ne faudrait pas oublier que les huit mille suppressions de postes annoncées par PSA est l'arbre qui cache la forêt. Et qui la cache bien. PSA est une grande entreprise et huit mille suppressions de postes, cela marque.
Mais combien de temps faut-il pour que les défauts de PME qui fournissent l'immense majorité de l'emploi en France arrivent aux mêmes chiffres ? Combien y a-t-il de patrons de PME qui terminent au mieux ruinés — parce que l'URSSAF ne se gêne pas pour transgresser la loi et saisir les biens de ces personnes qui n'ont droit à rien étant pour la plupart des travailleurs non salariés — au pire à la rue ? Et ce patron de PME n'est pas toujours responsable de la situation de son entreprise. Une grande entreprise comme PSA a des lignes de crédits monstrueuses alors qu'une PME est à la merci du premier défaut de trésorerie parce que l'un de ses clients a décidé d'optimiser sa trésorerie.
Le licenciement pour un salariés est toujours un drame, qu'il soit le fait d'un grand groupe ou d'une PME. Mais ce salarié a une protection sociale efficace. Ce n'est pas le cas du patron de PME qui risque beaucoup plus dans l'histoire et dont tout le monde se contrefiche. C'est sans doute cela, être de gauche.
Mais revenons au problème de PSA. PSA ne paie aujourd'hui que trente ans de navigation à vue. Il ne faut pas oublier que PSA a récupéré dans les années 1970 les marques suivantes :
PSA a essayé de faire revivre Talbot, ancienne marque de prestige, mais sans rechercher la qualité nécessaire. Si la mécanique était intéressante, ces véhicules rouillaient plus vite que leur ombre, à tel point que l'image était tellement mauvaise que Peugeot a décidé d'offrir un avant de 205 à la dernière Talbot qui est devenue la 309. PSA a aussi essayé de transformer Citroën en marchand de Peugeot avec les Visa, LN et autres véhicules de la fin des années 1970, heureusement sans succès. Les dirigeants de PSA n'avaient pas compris que la clientèle haut de gamme de Citroën n'aurait pour rien au monde acheté une Peugeot.
Mais au cours des années 1980, il fallait ou relever le niveau ou mourir et PSA a décidé de monter en gamme — la CX, seul véhicule haut de gamme de PSA, était en fin de vie — et a lancé les études des 605 et XM. Ces deux véhicules auraient pu être des réussites si Calvet n'avait pas décidé de faire des économies de bouts de chandelles sur les connecteurs électriques. Entre 1989 et 1991, les ventes de XM devançaient en Allemagne les ventes des Mercedes, mais cela a tourné court car toutes ces voitures sont tombées en panne sur des défauts de faisceau électrique, ce qui a salement entamé l'image de marque de PSA. N'ayant rien appris de cette leçon, Peugeot réitère avec la 607. Aujourd'hui, le seul véhicule haut de gamme de PSA est la C6, mais qui n'existe plus qu'en version diesel et avec une boîte automatique. Rien de tel pour s'aliéner une bonne partie des acheteurs potentiels.
Ne restait donc à partir du milieu des années 1990 à Peugeot que le segment des petites voitures et des voitures intermédiaires honteusement financées par l'état à grands coups de juppettes, de balladurettes et autres premierministrettes. PSA a donc vendu des milliers de véhicules très peu rentables et son image de marque est devenue celle d'un constructeur spécialisé dans les petits véhicules. Et PSA cherchait des alliances. PSA, affaire familiale, aurait pu chercher BMW dont la philosophie est proche. Non, PSA a cherché des alliances au coup par coup, avec Mitsubishi, puis Fiat, puis Volvo. Ça allait dans tous les sens. Et aujourd'hui, une alliance a été conclue avec General Motors, le pire qui puisse arriver tant les visions des deux groupes sont différentes.
Aujourd'hui, que propose le gouvernement ? De remettre une incitation, une prime, pour les véhicules électriques à hauteur de sept mille euros. C'est très bien. Sauf que le véhicule électrique n'est pas une solution puisqu'il pose un certain nombre de problèmes que l'on cache sous le tapis (déport de la pollution, construction de nouvelles lignes THT, construction de centrales électriques, problème de matériaux pour équiper tout ce matériel roulant en batteries…) et que ce n'est certainement pas en vendant des véhicules électriques que PSA s'en sortira. Le seul moyen de passer le cap, c'est de produire des vrais véhicules avec une qualité réelle et un suivi des pièces. Il est inadmissible de s'entendre répondre NFP lorsqu'on demande une pièce d'usure d'un véhicule de moins de dix ans chez le fabricant. Il est inconcevable de prétendre vendre un véhicule aussi peu fiable que mon ancienne 607.
Mettre de l'argent public dans des aides indirectes à cette entreprise à partir du moment où elle ne veut pas (ou ne peut pas) proposer des produits de meilleure qualité revient à jeter de l'argent par les fenêtres. Il ne faut donc pas sauver le soldat PSA. Mais il est urgent de sauver toutes les PME qui mettent actuellement la clef sous la porte et qui provoquent largement plus de nouveaux chômeurs que la fermeture de l'usine d'Aulnay-sous-Bois.
Je viens encore de recevoir ceci, avec naturellement une requête depuis un proxy anonyme et une adresse de messagerie parfaitement saugrenue :
24.07.12 • Email: dernier.avertissement@orange.fr • IP: 184.154.49.106 • Pas de Spam KarmaNous constatons toujours les diffamations présentes sur votre site. Nous sommes désolés de votre comportement qui ne peut que vous nuire à vous et votre entreprise en terme d'image.
Le message est donc signé. Vous ne voulez donc plus porter plainte et vous vous souciez maintenant de mon image de marque ? Comme c'est gentil à vous. Sauf qu'il ne faudrait pas oublier que c'est vous et vous seul qui avez nuit gravement à mon image de marque l'an passé. Il ne faudrait pas oublier non plus que le billet initial n'est dû qu'à votre attitude et au fait qu'il fallait que je me défende puisque cette histoire d'amplificateur Marantz m'a fait perdre un certain nombre de missions dans le domaine de l'électronique et que je me suis retrouvé avec un sérieux manque de chiffre d'affaire. Je vous rappelle aussi qu'une des autres raisons était une usurpation d'identité. Grand seigneur, j'ai passé l'éponge pour la première, mais j'ai porté plainte pour les autres. Et je vous rappelle une dernière fois qu'il ne tient qu'à vous pour que le billet qui semble vous défriser disparaisse. Je ne vous demande que des excuses publiques, mais il est vrai que pour vous, reconnaître vos erreurs est difficile.
Je vous ai aussi signalé plusieurs fois que si vous voulez absolument jouer au plus con avec moi, il vous faudrait beaucoup d'endurance. À partir de ce jour et jusqu'à nouvel ordre, il faut donc être dûment enregistré — ce qui inclut une adresse de messagerie valide — pour poster ici un quelconque commentaire.
À toutes fins utiles, je vous signale que ce que j'écris ici n'engage que moi, certainement pas mon entreprise, et que la seule personne qui s'est jamais permis de diffamer mon entreprise, mes salariés et moi-même, c'est vous et vous seul.
Dernière remarque. La semaine passée, vous m'avez envoyé un message au travers du formulaire contact, fermé depuis. Cette semaine, vous avez accroché un commentaire à un billet qui n'avait rien à voir avec le débat. Que ferez-vous la semaine prochaine ? À vrai dire, ce n'est pas mon problème. Sachez simplement qu'avec vos deux derniers messages, je vais refaire la queue au commissariat de police le plus proche.
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