Il existe dans notre beau pays de France une association à but non lucratif qui porte le doux nom de Comité National pour la Sécurité des Usagers de l'Électricité. Le commun des mortels connaît plutôt ses inspecteurs sous le vocable de consuel.
Le consuel est un grand machin qui autorise ou non le fournisseur d'électricité à ouvrir un compteur. Mais le fournisseur d'électricité se retranche aussi derrière les avis du consuel qui sont parfois bizarres.
J'ai acheté il y a une dizaine d'années une ruine en Corrèze. Pour les besoins de sa restauration, j'ai dû faire installer un compteur de chantier, compteur qui ne peut être ouvert plus de six mois. Or mener à bien une restauration de propriété lorsqu'on n'est pas sur place relève de la gageure. Les artisans locaux ne sont pas des plus pressés. Les six mois ont passé sans que rien n'avance réellement et l'EDF est venu fermer ce compteur. Rien n'est plus bête qu'un règlement lorsqu'il est appliqué à la lettre. Pourtant, il était manifeste que cette maison était encore en chantier. Pour être tout à fait honnête, elle l'est encore en ce moment.
Après discussion avec le directeur de l'EDF local, j'ai eu un compteur normal, ouvert, mais sans aucune installation électrique. Il y avait seulement un domino qui pendouillait sous le compteur. Il faut dire que ce n'est que grâce à une sérieuse formation en électricité que j'ai réussi à obtenir ce compteur sans qui le chantier aurait été arrêté jusqu'à ce que l'installation électrique ait été achevée. Autant dire que de l'eau aurait pu couler sous les ponts de l'Auvézère. Depuis, le circuit électrique de la maison a été fait, testé et même retesté. Le consuel n'est jamais passé et, si le circuit n'est pas aux normes, je puis assurer que son utilisation ne posera aucun problème et qu'il n'existe aucun risque d'électrocution majeure.
Dans mon immeuble, à Paris, le consuel a permis l'ouverture de compteur sur des installations électriques dangereuses, mais aux normes. Cela va des sections de câbles trop fines aux tableaux électriques à fusibles en passant par la prise de terre connectée aux tuyaux d'eau, ce qui est une aberration puisque rien ne dit que la continuité électrique du tuyau est assurée. On peut très bien tomber sur un joint diélectrique ou un joint en caoutchouc isolant. Le temps du joint fibre et de la vraie plomberie est malheureusement révolu. Passons donc sur l'utilité des normes en général et du consuel en particulier.
Or j'ai dû faire l'acquisition d'un box de garage de belles dimensions. Comme tous les box parisiens, il ne possède pas d'éclairage, ce qui est assez pratique vous en conviendrez. Ne voulant pas piquer une ligne électrique depuis les installations des parties communes, j'ai donc demandé à l'EDF de m'installer un compteur électrique de base pour avoir un point de lumière et une prise électrique permettant de recharger une batterie de voiture. C'est parfaitement impossible. Pour ouvrir un simple compteur dans un box de garage, le consuel demande :
Et il faut ajouter au tableau que l'installation doit être fait par un électricien agréé. J'ai demandé un devis incluant toutes les prestations à un électricien agréé de mes connaissances, un qui n'exagère pas enfin pour Paris, et il y en avait pour plus de 3500 euros hors taxe.
De là à penser que le consuel n'est pas là pour sauver des vies mais seulement pour sauver le métier d'électricien, il y a un pas que je m'empresse de franchir !
Vous n'êtes pas sans l'ignorer, Gilles Carrez est un député compétent puisqu'il est à la fois diplômé de HEC et de l'ENA. Qui plus est, il est membre de l'UMP, ce qui ne gâche rien.
Ce monsieur a trouvé le moyen de déclarer publiquement :
La suppression de la taxe professionnelle constitue un allègement historique de la pression fiscale sur les entreprises.
Ouvrez et fermez les guillemets qui s'imposent avec des pincettes ! D'une part cette taxe n'a pas été supprimée, elle a juste changé de nom. Ce monsieur est pourtant assez bien placé pour le savoir. Il ne s'agit plus de taxe professionnelle, calculée en partie sur les immobilisations ce qui était d'absurdité sans nom, il s'agit maintenant de la « cotisation foncière des entreprises, taxe pour frais de chambres et commerce et d'industrie, taxe pour frais de chambres de métiers et de l'artisanat et imposition forfaitaire sur les entreprises de réseaux. » Rien de moins.
Personnellement, le montant de ma cotisation — puisqu'il ne s'agit plus d'un impôt, heureux contribuable que je suis — a sensiblement augmenté malgré un chiffre d'affaire amputé par le marasme économique actuel. Toutes les entreprises autour de moi semblent être dans le même cas de figure. Au vu du savant calcul figurant sur la « fiche de calcul TP », sans doute une coquille puisque l'appellation taxe professionnelle a été bannie, seules les entreprises industrielles pourraient voire leur cotisation baisser. Pour toutes les entreprises de services divers et variés, cette nouvelle cotisation ne peut être que supérieure à la défunte taxe professionnelle.
Je n'arrive pas à imaginer que ce monsieur puisse ignorer ces faits. S'il les ignore, cela signifie simplement qu'il n'a pas sa place à l'assemblée nationale et qu'il devrait rapidement changer de métier. Son attitude consiste simplement à se moquer ouvertement de tous les assujettis à cette nouvelle cotisation en faisant passer un message d'augmentation probable de la pression fiscale dans un avenir proche.
Comprenez-moi bien, je ne suis pas contre le fait de payer des impôts. Encore faudrait-il qu'ils soient utilisés correctements, ce qui est un autre débat. En revanche, je trouve l'attitude de ce monsieur indigne car il est inadmissible de dire à la France entière que la pression fiscale sur les entreprises a baissé, qui plus est, historiquement. Il faudrait donner à Gilles Carrez les rênes d'une entreprises durant un ou deux ans et voir ce qu'il aura réussi à faire durant cette période. Je suis prêt à parier que sa vision aura changé du tout au tout lorsqu'il devra faire des chèques tous les mois pour des impôts, cotisations et taxes diverses et variées en constante augmentation ! S'il n'a pas envie de relever le défi, je lui propose autre chose : qu'il fasse le calcul de ce qu'une entreprise peut donner à un salarié — à dividendes nuls — lorsqu'elle fait un euro de chiffre d'affaire. Là encore, il aurait de grosses surprises. Personnellement, j'ai fait ce calcul en 2004 et le résultat était déjà édifiant.
Le message est donc clair. C'est un ballon d'essai signifiant que la pression fiscale va pouvoir augmenter parce qu'une taxe ayant été remplacée par une cotisation, celle-ci a baissé. Je ne sais pas si vous suivez bien la puissance du raisonnement. Desproges avait donc raison. Nous vivons dans un siècle qui a résolu tous les grands problèmes en appelant un chat un chien.
Cela a dû vous échapper tant cette nouvelle n'a pas fait les gros titres. Dans la presse, il fallait avoir l'œil, cette information capitale ayant juste eu l'honneur d'un entrefilet.
Le lundi 8 novembre dernier, pourtant,a eu lieu un événement d'une importance capitale. L'assureur obligataire américain Ambac Financial s'est inscrit sous la protection du chapitre 11 de la loi sur les faillites aux États-Unis. Cela ne vous dit rien, mais l'inscription de cet assureur devant l’U.S. Bankruptcy Court de Manhattan est le signe précurseur d’une catastrophe économique sans précédent à venir car Ambac est un réhausseur de crédit au cœur même des processus de titrisation qui nous ont déjà envoyé dans le mur en 2008 et dont nous n'avons pas encore commencé à payer l'ardoise. Pour les non spécialistes, cet organisme transforme des dettes — les crédits — en produits financiers source d'une cavalerie financière sans précédent et apportent une garantie en cas de défaut de l'émetteur de ces titres. Si cet organisme fait à son tour défaut, tout le reste de système financier va s'effondrer tant les montants en jeu sont importants. Aucun état ne pourra assumer ces pertes.
À titre d'information, Ambac garantirait actuellement 700 milliards d'actifs sous la forme de CDS (credit default swap), soit presque le double de la perte induite par la chute de Lehman Brothers dont la faillite en 2008 a marqué le début de la crise actuelle.
Ce que vous devez savoir, c'est que ce qu'on appelle des produits dérivés sont principalement des CDS — 97% aux USA en 2010 d'après l'office of the Comptroller of the Currency, l’autorité gouvernementale US de tutelle des banques, ce qui représente 3,7 fois le PIB mondial sans que cela ne dérange personne. Les CDS étant des contrats d'assurance cotés sur le marché, ils sont aussi hors bilan, ce qui signifie qu'il n'apparaissent pas dans les livres de comptes des sociétés financières. Personne ne sait qui détient quoi jusqu'au moment où le système implose.
Placer ces produits en dehors des bilans permet aux organismes financiers, selon le bon vieil adage pas vu pas pris, de ne pas constituer de réserves garantissant ces polices d'assurance. En cas de défaillance d'un seul acteur de la pyramide, tous ces produits toxiques devront réapparaître dans les comptes des différents établissements financiers ne serait-ce que pour noter des créances douteuses. À ce moment, tout le château de carte financier ne reposant que sur du vent implosera.
Or les prévisions des organismes internationaux sont pour l'année 2011 ne sont plus pessimistes, elles sont catastrophiques. L'endettement de l'Irlande passera à plus de 90% du PIB, celui de l'Espagne à plus de 70%. Les autres états européens ne seront pas mieux lotis. Les organismes prêteurs en dernier ressort, créés dans l'urgence, ne pourront jamais avoir assez de capitalisation pour éponger les dettes puisque pour la seule Espagne, il faudra plus de 500 milliards d'euros ! Imaginez ce qu'il faudra débourser pour sauver toute la zone euro ou les États-Unis. Et c'est sans compter sur tous les autres pays qui sont dans le même bateau.
Ce problème dépasse de loin la sphère de la finance, voire celle de l'économie. C'est toute notre civilisation qui est en train de s'effondrer devant nos yeux et il risque fort de n'en sortir rien de bon.
Les fournisseurs d'accès internet sont décidément des grands agitateurs. Ils n'arrêtent pas d'inclure de nouvelles possibilités dans leurs modems. De temps en temps, en vertu du bon vieux darwinisme, une fonction est assez intéressante pour perdurer, la plupart du temps, il s'agit tout de même de n'importe quoi.
La nouvelle box SFR a été présentée. Pour ceux qui ne seraient pas au courant, une box est un objet qui remplace un modem ADSL, un terminal de voix sur IP et un routeur, les plus chanceux pouvant même contenir un décodeur de télévision et un point d'aéccès Wifi. À la place de trois ou quatre équipements fonctionnant correctement, on n'en a plus qu'un seul mais qui fonctionne aléatoirement en nous liant à un opérateur. Ne croyez pas que les fournisseurs d'accès s'amusent à créer des équipements terminaux par pure bonté d'âme au vu de la complexité de la chose et de leur qualité finale, ils ne font ça que pour enfermer le client. À l'heure où la capitalisation boursière d'un fournisseur d'accès dépend de son seul nombre d'abonnés, la qualité de l'équipement n'est plus un critère. Il suffit qu'il emprisonne le client avec assez de force pour qu'il ne cherche pas à changer de crémerie.
Quel bel objet. À lire les annonces, je me demande même comment on pouvait faire sans elle. Pourtant, à regarder de plus près, il n'y a rien de vraiment nouveau ou utile sauf une augmentation du tarif de l'abonnement qui passe à 34,90 € par mois. Le tabou est brisé et le prix des abonnements des accès internet commence à augmenter. Cela risque fort de ne pas s'arrêter.
Revenons à cette SFR box. Sa télécommande est simplifiée. Elle ne possède plus que cinq boutons. Imaginez toutes les combinaisons des cinq boutons que vous allez être obligés de retenir avant de maîtriser l'engin. Vous allez faire travailler votre mémoire bien plus qu'en essayant de réussir les tests d'entraînements de la Wii. D'ici à ce qu'on nous dise que la SFR box fait partie du plan Alzheimer en luttant contre l'inaction sclérosante, il n'y a qu'un pas et je m'étonne qu'aucun marketteux ne l'ait encore allègrement franchi. Ces gens-là osent généralement tout et c'est dans le pire qu'ils sont les meilleurs. Et il faut ajouter, enfin, ce sont aussi les marketteux qui dans leur bonté d'âme nous le signalent, que cette télécommande n'est plus infrarouge mais radio. C'est un grand progrès puisque cela nous permettra, chanceux que nous sommes, de changer de chaîne de télévision sans être devant le poste. C'est donc quelque chose de parfaitement indispensable. Comme tout le monde le sait, on regarde souvent la télévision en étant dans la pièce voisine.
Plus amusant, ou déplorable c'est selon, c'est que l'abonné SFR ouvre souvent à son insu un accès wifi aux autres abonnés de SFR. Remarquez, c'est un peu pareil chez d'autres opérateurs. Aujourd'hui où un particulier non professionnel peut être condamné pour non sécurisation de son accès internet privé parce que cet accès a été utilisé — ou tout au moins a prétendûment été utilisé — pour télécharger des contenus illégaux, il est assez cocasse que des particuliers ouvrent des points d'accès à tous les abonnés du même opérateur qu'eux. Que va-t-il se passer en cas de passage à la moulinette HADOPI de ce particulier ? Doit-il garder les journaux de toutes les connexions sur son point d'accès ? Comment prouver qu'il ne s'agit pas de lui ? Est-ce que cette fonction est seulement débrayable ? Je me souviens avec quelque émotion de l'option des premières Livebox qui ne permettaient d'utiliser un accès Wifi pour le téléphone VoIP qu'à partir du moment où cet accès était ouvert à tout le monde.
Gageons que nos chers gouvernants ont pris en compte cet aspect du problème dans le grand machin inapplicable HADOPI.
La mode est au triple play. Pour une somme modique ou prétendue telle, vous avez sur votre antique ligne téléphonique une connexion internet balbutiante, un téléphone aux abonnés absents et des flux de télévision comme si la TNT, le câble ou le satellite ne suffisaient pas. Il fallait bien qu'un brillant marketteux pense à ça pour saturer les centraux téléphoniques qui n'en demandaient pas tant.
Personnellement, j'ai un bon vieil abonnement téléphonique avec un aussi vieux poste Socotel S63. Par dessus, comme je n'utilise Internet qu'à titre professionnel, j'ai deux connexions qui fonctionnent parfaitement quelle que soit l'heure et un téléphone VoIP de qualité. Cela me coûte un peu plus cher mais en contrepartie, je n'ai pas à rejouer le 22 à Asnière ni à employer des signaux de fumées ou des invocations vaudou.
Il n'en est pas de même chez les gens qui me demandent de passer chez eux réparer leur installation. Le décodeur de télévision livré avec la Livebox est un truc incompréhensible. Chez un client, j'ai réussi à le faire fonctionner seulement avec un câble Ethernet Cat5e de dix mètres et une liaison CPL entre la Livebox et son décodeur. Avec tout autre câble ou tout autre type de connexion, ce sale truc refusait de fonctionner. Deux mois pour trouver la parade et aucune explication du support technique d'Orange. Je n'ai d'ailleurs aucune explication logique à donner. Ayant une formation d'électronique, j'ai ma petite idée sur le pourquoi du comment. Passons…
Hier, chez un autre client, je me suis retrouvé devant une Freebox, son décodeur soi-disant HD et un écran plasma d'un bon mètre vingt de diagonale. L'écran donnait une image impécable avec le décodeur TNT intégré même pour des chaînes qui n'étaient pas disponibles en haute définition. La personne en question voulait absolument avoir accès aux chaînes italiennes, donc au bouquet disponible sur Internet au travers de sa connexion Free.
Le client en question avait tiré une jarretière téléphonique de sa tête de ligne jusqu'à sa télévision. Une vraie jarretière, pas un câble bas de gamme. Le technicien de Free — ou envoyé par Free — avait déclaré que ça ne pouvait fonctionner et qu'il fallait utiliser les modules à courant porteur. Manque de chance, ces modules livrés avec la Freebox sont tellement mauvais que d'un étage à l'autre, ça ne passe pas correctement. J'ai déjà pu le constater chez d'autres personnes, ces modules sont les pires qui existent actuellement sur le marché. J'installe donc mes modules de test, au fonctionnement correct, qui se synchronisent à 200 mbps sans aucun problème. Mais cette saleté de décodeur TV de Free est infoutu de trouver la Freebox ! Je démonte l'installation, branche ce truc au cul de la Freebox, réinitialise le décodeur et attends. Rien ne se passe. Le décodeur a planté la Freebox. Réellement plantée puisque la connexion Internet même était tombée ! Réinitialisation de la Freebox, branchement du décodeur au cul de la Freebox, attente plusieurs minutes pour qu'elle s'authentifie, redémarrage du décodeur. Parfait, je réinstalle ce décodeur sous la télévision. Là, le décodeur veut bien fonctionner.
L'image d'accueil est parfaite. En revanche, la télévision est ignoble. Les couleurs bavent, on voit parfaitement les trames d'encodage et le bruit de quantification. Seules les chaînes déclarées comme étant disponibles en haute définition sont meilleures. Enfin, meilleures, mais certainement pas bonnes puisque la meilleure des chaînes en haute définition sur le bouquet de Free était pire que la pire des chaînes en qualité standard de la TNT. Pourtant, le décodeur est relié à la télévision au travers d'un câble supportant la haute définition. J'essaie de forcer les réglages sans succès, ils basculent tous et quelles que soient mes modifications sur les paramètres par défaut. Après quelques minutes d'efforts, j'obtiens même l'image suivante en tentant juste de changer la résolution de l'écran :
Force est donc de constater que Free n'est pas cher mais qu'on n'en a que pour son argent. Entre une Freebox dernier cri dont le fonctionnement est erratique puisqu'un simple périphérique arrive à la planter, des modules de transmission sur courants porteurs qui sont les pires qui puissent exister et un décodeur HD capable de se mettre en drapeau en changeant simplement la résolution de l'écran au travers d'un menu disponible depuis la télécommande (même pas une fonction avancée ou cachée), le client est vraiment pris pour un imbécile. Le logiciel embarqué dans le décodeur est même tellement mauvais qu'il est capable de planter en interprétant un fichier HTML pourtant généré par le décodeur lui-même. On croit rêver.
Le seul moyen pour remettre le décodeur en question en ordre de marche a été une réinitialisation complète. C'est d'un sérieux !… Encore, on pourrait se dire que ce n'est pas grave, que ce n'est qu'un équipement terminal. Même pas. J'a eu l'occasion de faire une formation pour des techniciens réseau au central téléphonique de la Croix-Rousse à Lyon. Un technicien arborant un beau logo Free dans le dos est arrivé et a redémarré devant quinze personnes les baies estampillées Free en salle de dégroupage directement aux disjoncteurs.
La plupart des abonnés de Free le sont en dégroupage total. Ils n'ont plus de ligne France Telecom. J'espère sincèrement que lorsqu'ils auront besoin de secours, leur décodeur TV n'aura pas fait planter leur Freebox ou leur téléphone VoIP ou qu'un technicien ne sera pas en train de redémarer sauvagement les équipements réseau. Moi, je garde jalousement mon vieux téléphone…
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