J'ai reçu du RSI un commandement de payer avec moult pénalités de retard et clause pénale.
Je sais, je ne suis pas à jour de mes cotisations. Mais ce n'est pas de ma faute. Ce n'est vraiment pas de ma faute, j'ai voulu payer ce grand truc qui ne sert à rien sauf à pourrir la vie de tous ses heureux cotisants en mettant les indépendants au régime. C'est lui qui n'a pas voulu.
Je sais, ça a l'air incroyable dit comme cela, mais c'est pourtant ce qui m'est arrivé. Je vais vous expliquer.
Ceux qui ont suivi mes aventures récentes ont appris que les nouvelles règles comptables et fiscales votées par la gauche au gouvernement ont considérablement accru mes cotisations et que, étant alors en période d'inter-mission, la fin de l'année passée fut difficile. Typiquement, il m'a fallu sortir pas loin de vingt mille euros non budgétisés parce que non prévisibles. Enfin, lorsque je parle de vingt mille euros, j'oublie le rattrapage de ma caisse de retraite (CIPAV pour ne pas la nommer) qui vient d'appeler son rattrapage pour l'année 2012, soit un coup de massue de trois mille euros de plus à sortir pour le 15 avril courant.
N'ayant pas encore de planche à billets dans ma cave, ce que je commence à déplorer sérieusement, j'ai payé ce que j'ai pu, mais j'ai été contraint de demander un étalement au RSI pour son rattrapage de trois mille euros. Cet organisme, qui ne se moque absolument pas de ses cotisants puisqu'il m'a accordé un étalement sur trois mois à la date de la demande — et non à la date d'échéance des cotisations, ce qui m'aurait arrangé — avec une pénalité de 10%, n'a pas prélevé les sommes en question. Jamais il ne m'a été demandé de régler ces trois échéances par chèques et comme j'ai un prélèvement trimestriel j'avoue ne pas m'en être préoccupé. J'ai donc payé la première échéance en retard en me déplacement directement à la caisse en question et en faisant montre de ma bonne foi. J'ai fait de même pour la seconde échéance. En revanche, pour la troisième, j'ai envoyé un chèque en courrier suivi. On n'est jamais assez trop prudent.
J'ai pourtant appris le mois dernier que je n'étais pas à jour de me cotisations 2013. Là, je m'énerve un peu parce que j'avais devant les yeux les talons des chèques. Je fournis la preuve non pas d'envoi du chèque mais de sa réception par le RSI et je demande avant d'envoyer un nouveau chèque un courrier de désistement sur ce fameux chèque qu'aux dires du RSI je n'aurais jamais envoyé (sic). J'aime assez que l'on me prenne par défaut pour un voleur. Passons.
Plus d'un mois après une demande officielle par courrier et le retour d'un accusé de réception de la part du RSI reprenant mon courrier, je n'ai toujours pas reçu cette lettre de désistement. J'avoue ne pas en avoir attendu moins. Pourquoi ne suis-je donc pas surpris ?
En revanche, j'ai reçu un courrier du RSI contenant mon chèque, celui-là même qui n'a jamais été reçu par leurs services, et s'étonnant que je règle quelque chose par chèque vu que je bénéficiais du prélèvement automatique.
Un tel courrier se classe, s'archive en rigolant et en attendant la contrainte qui ne saurait tarder. J'ai appris qu'avec les organismes collecteurs de charges, il fallait toujours attendre en cas d'erreur de leur part qu'ils dégaînent les premiers. Il est alors d'autant plus facile de leur taper sur le bec.
Et cette contrainte, je l'ai eu par la Poste hier vendredi. Contrainte amiable à payer sous huitaine, datée du 21 avril 2013 à Strasbourg, postée de Chambéry au tarif lent le 24 le cachet de la Poste faisant foi pour parler en patois pététique — on est tout de même en droit de se demander par quel miracle un courrier écrit à Strasbourg à besoin d'être posté trois jours plus tard à Chambéry — et reçue le 28, soit un jour avant la fin du délai gentiment accordé de règlement tardif.
J'aime assez la contrainte envoyée en courrier simple au tarif lent. Passons, il n'y a pas de petites économies, mais de vous à moi, une contrainte qui n'est pas envoyée en recommandé avec accusé de réception est aussi quelque chose qui s'archive en rigolant.
Nous sommes donc dans la situation kafkaïenne suivante. Ceux qui seraient germanophobes peuvent remplacer kafkaïen par ubuesque, le résultat est le même. Le RSI ne sait que faire du paiement de l'un de ses heureux cotisants, lui renvoie son propre chèque prouvant par là qu'ils ont bien identifié l'émetteur du chèque en question et son compte cotisant et, quelques jours plus tard, se fend d'une injonction de payer le montant du chèque en question avec force pénalités de retard et quelques formules de politesses assez contraintes elles aussi.
J'avais déjà eu le coup de la part de l'URSSAF qui m'avait envoyé il y a quelques années un appel de charges le 14 août à 17h52 à régler avant le 15 août, encore férié en France. Je n'avais pas encore eu de telles choses avec le RSI. Je n'avais pourtant aucune illusion sur le fonctionnement de ce bel organisme qui m'avait déclaré mort il y a quelques années.
J'espère que Brian G. Hutton me pardonnera, mais les temps sont durs et je suis un peu fatigué.
En effet, depuis deux jours, je suis attaqué, que dis-je, harcelé par un lémurien. Lorsque je parle de lémurien, je ne pense pas au primate à pouce préhenseur mais au bipède à l'index glisseur et aux yeux globuleux.
Hier, coup de téléphone paniqué de la part d'une assistante dentaire du modèle de celle qui n'aurait pas pu inventer la poudre de peur de sauter avec la solution. Description laconique du problème : « Monsieur Le Grincheux, ça imprime pas ! »
J'ai failli dire que ce n'était pas étonnant mais je me suis abstenu, sa détresse étant manifeste. Ce n'était pas étonnant parce que les membres de ce cabinet ont été éduqués par les encarts publicitaires des vendeurs d'antivirus dans la presse spécialisée informatique. Je peux en confirmer la réussite car sous prétexte d'une peur panique des virus, au demeurant bien compréhensible vu le battage médiatique fait autour de ces machins, tous les outils fonctionnant sous Windows tournent en fait dans un Windows XP familial virtualisé sur MacOS X ou sous un unix quelconque. Notez bien le familial et le fonctionnement de ces outils en réseau. Il est parfaitement incompréhensible qu'avec un tel empilage de logiciels et de tels utilisateurs, cela ne dysfonctionne que tous les deux mois.
Mais revenons à notre problème d'impression.
Hier, donc, coup de téléphone sur le mode de la panique. J'essaie d'aider la personne par téléphone en tentant vainement de lui faire trouver le bouton permettant d'imprimer une page de test sur l'imprimante en question. Peine perdue, j'ai réussi à lui faire trouver le bouton démarrer de Windows 7 en une demi-heure… Mais jamais au grand jamais je n'ai réussi à lui faire trouver le menu périphériques et imprimantes. Je conviens donc de passer non pas hier jeudi soir mais ce soir. Je lui demande en revanche de me tenir informé de l'évolution du problème.
Ce matin, dans le métro entre les stations Concorde et Invalides, coup de téléphone. Toujours le même mode panique. Mais cette fois-ci, il est possible d'imprimer depuis un progiciel dentaire mais pas depuis Word et l'assistante me demande sans rire qu'il me faut réinstaller l'imprimante. C'est cela, on peut imprimer à partir d'un outil et pas d'un autre mais c'est la faute de l'imprimante. Je sais bien que Windows est un système quantique au fonctionnement erratique, mais il ne faut pas exagérer.
J'ai tout de même osé une question. Je voulais savoir si par hasard elle n'avait pas touché un peu à tout partout en raison d'un autre problème aussi bête qu'un défaut d'impression en raison d'une absence de papier. Elle me jure que non, jamais. Je ne sais pas pourquoi, mais j'ai eu comme la désagréable impression de me faire prendre pour une truffe.
Ce n'est pas grave, je vais me déplacer. Je vais me déplacer et facturer.
Mais j'ai été assez charitable, j'ai évité de lui dire qu'il lui fallait bidouiller les câbles parce qu'un virus d'internet a été introduit dans sa machine.
N'en déplaise à Philippe Meyer, l'esprit public n'existe pas. Si la somme des intérêts individuels était à peu près égale à l'intérêt collectif, il serait encore possible d'en discuter. Mais ce n'est pas le cas, chacun voit midi à sa porte et certains sont visiblement très myopes.
Depuis quelques semaines, des bruits de bottes russes se font entendre depuis l'Ukraine. Et les commentaires des articles de presse sur les sites internet des grands journaux montrent s'il fallait encore s'en convaincre qu'internet, sous couvert d'anonymat, permet aux instincts les plus bas de s'exprimer.
Si l'on en croit les commentaires, tout droit issus de la fange numérique de la société, il faudrait laisser faire l'oligarque russe sous des prétextes tous plus fallacieux les uns que les autres.
Il faut donc rétablir plusieurs faits. Khrouchtchev n'a pas fait cadeau de la Crimée à l'Ukraine. Si c'était un cadeau, il était bigrement empoisonné parce que cette péninsule n'a pas les ressources nécessaires pour permettre à sa population de simplement survivre. Il a fait ce qu'il était logique de faire. Les russes ont déporté les Tatars qui n'en demandaient pas tant et plus ou moins colonisé la péninsule. Et si l'on considère que ce rattachement est une iniquité, il ne faudrait pas oublier qu'avant d'être russe, la Crimée faisait partie de l'empire ottoman et qu'elle fut bien plus longtemps turque qu'elle n'a été russe. Rendons donc la Crimée à la Turquie. Un peu de cohérence ne nuirait pas.
L'Ukraine est aussi un pays souverain. On peut discuter sur le caractère démocratique, autoritaire, oligarchique voire despotique de son régime politique, mais il n'empêche qu'il s'agit d'un pays souverain avec des frontières reconnues internationalement. Les russophones n'y étaient pas massacrés par les armes. Pas encore.
La révolution en court n'a eu lieu qu'en raison d'un revirement du président déchu contre une bonne partie de sa population. La population de Kiev voit d'un côté la situation russe et de l'autre la situation qui prévaut en Pologne et en Roumanie. Il va sans dire que l'attrait de l'Union Européenne ne peut être que fort.
Cette crise s'éternise et il était urgent de ne pas attendre. Poutine ne comprend que les rapports de force, la diplomatie russe n'a pas changé depuis la période glorieuse de l'URSS et il n'en restera pas là. Il compte bien annexer tout ce qui était un jour russe pour exactement les mêmes raisons qu'Adolf Hilter a annexé une bonne partie de l'Europe. L'Ukraine n'est que le début et si personne ne se lève contre lui, ce sera bientôt le tour de la Biélorussie.
Ainsi, entendre des gens déclarer haut et fort que chaque peuple a le droit de disposer de lui-même et que les autres puissances n'ont aucun droit d'ingérence est assez paradoxal. Il faut poser des limites non pour sauver l'Ukraine, mais pour sauver tout l'est de l'Europe de tentatives d'annexions russes et, surtout, pour pouvoir demain se regarde dans la glace. Et il faut le faire par tous les moyens. Si on ne le fait pas, c'est une nouvelle guerre froide qui va recommencer.
Par ailleurs, ne pas laisser faire Poutine est aussi une bonne action aussi pour le peuple russe. En effet, Poutine va se retrouver seul sur la scène internationale. Tout au plus épaulé par la Chine qui lorgne sur les matières premières sibérienne. La situation économique russe, déjà pas bien florissante, ne va pas s'arranger. Or aujourd'hui seule la diplomatie américaine est audible. L'Union Européenne brille par son inefficacité diplomatique. Pourvu que cette crise permette au moins de comprendre qu'il faut aller vers plus d'intégration européenne.
Et ceux qui se satisfont de la situation actuelle devront aussi accepter que la France, suivant l'exemple de la grande démocratie russe, annexe prochainement la Wallonie menacée par l'extrémisme flamand. Pourtant, nul doute qu'ils ne s'élèvent alors contre cette annexion.
Il l'a osé. Le ridicule ne tue plus de nos jours et, souvent, je me prends à penser que c'est bien dommage.
Cela vous a peut-être échappé, mais Jean-Luc Mélenchon a déclaré que Vladimir Vladimirovitch Poutine était dans son droit le plus strict lorsqu'il a envoyé ses troupes prendre la Crimée. Que ne ferait-il pas pour faire parler de lui et prétendre être le digne successeur du regretté Maurice Thorez, tellement apprécié des russes que ceux-ci ont rendu au quai de Moscou portant son nom son toponyme originel dès 1994. N'en déplaise à Mélenchon, l'ambassade du Royaume-Uni n'est plus à Moscou, quai Maurice Thorez, mais, sans avoir déménagé le moins du monde, quai Sainte-Sophie.
Donc, les russes occupent la Crimée, province autonome ukrainienne. Les européens et le gouvernement américain gesticulent, espérant faire plier Poutine. Symptomatiquement, l'Allemagne est en tête des actions diplomatiques à l'heure où j'écris ces lignes.
En effet, la situation est assez similaire à l'annexion des Sudètes par le Reich allemand à la suite des accords de Munich en 1938. Remplacez Daladier par Hollande — ou Fabius —, Chamberlain par Cameron et la SDN par l'ONU et vous aurez un bel aperçu de la situation actuelle.
En 1994, par le mémorandum de Budapest, la Russie s'était engagée à respecter l'indépendance de l'Ukraine. Mieux que cela, les USA, la Grande-Bretagne et la Russie étaient, toujours d'après ce mémorandum, garants de l'intégrité territoriale de l'Ukraine.
Lorsque Moscou a utilisé la désinformation pour prendre possession par les armes de la Crimée, il ne fallait pas négocier. Le temps n'était plus à la négociation. Il fallait immédiatement riposter à la façon Blitzkrieg. Pourquoi ? Parce qu'après la promenade russe en Géorgie en 2008, Poutine est en train de tester les puissances étrangères pour savoir jusqu'où il peut aller sans se faire taper sur les doigts par la communauté internationale. Et il serait temps que cette communauté internationale lui impose des limites. Gesticuler en déclarant que tel ou tel autre pays arrête ses préparatifs pour le G8 de Sotchi doit faire doucement rigoler les russes puisque nous avons plus besoin du gaz russe que les russes ont besoin de nous.
Poutine est un dictateur élu, omnipotent, un nationaliste de la pire espèce qui ne cherche pas à sécuriser son accès au Pont Euxun pour sa flotte. En effet, d'une part l'est de la Mer d'Azov est russe et rien n'empêche la Russie de créer une base maritime sur son propre sol et, d'autre part, le bail que la Russie avait pour sa base de Sébastopol court jusqu'en 2042. Non, Poutine veut recréer la grande Russie comme Adolf fut en son temps le chantre du pangermanisme.
En ce sens, cet homme est dangereux, hypocrite et bien plus faux d'ailleurs que les négociateurs du Reich allemand aux accords de Munich puisqu'eux, au moins, n'avaient pas l'outrecuidance de se cacher derrière une armée sans signe extérieur de reconnaissance.
Les russes imposent donc leur loi à l'Ukraine et finalement au monde entier. Les USA et la Grande-Bretagne vont perdre leur crédibilité, si tant est qu'il leur en reste une, puisqu'en tant que garants ils se doivent d'intervenir. Poutine sortira grand vainqueur car, contrairement aux Russes, personne ne veut la guerre et Mélenchon continue à faire du Mélenchon. Enfin, tout le monde ne peut pas être au diapason de l'histoire et on ne peut pas demander plus à Mélenchon qu'aux petits-fils de Charlemagne.
Remarquez bien, on ne peut pas en demander plus à Hollande, Cameron et Obama non plus. Les massacres en Syrie continuent avec la bénédiction de la Russie et l'Union Européenne continue à légiférer sur la vitesse des essui-glaces des véhicules utilisant son infrastructure routière au lieu de dégaîner sa diplomatie pour un conflit qui couve à ses portes.
Il me faut un document attestant que je suis à jour de mes cotisations URSSAF et RSI pour l'année 2013 pour être enregistré comme fournisseur de la société qui m'a envoyé concevoir la nouvelle mouture de Nao.
Pensez donc. Demander à l'URSSAF et au RSI de fournir une attestation fin février 2014 mentionnant que je suis à jour de mes cotisations de 2013 ? C'est tout bonnement impensable vue la rapidité de traitement des dossiers qui leur sont confiés. J'ai donc pris mon bâton de pèlerin représenté pour l'occasion par un téléphone cellulaire et deux numéros surtaxés, il n'y a pas de petits profits. En effet, contrairement à ce qui est écrit sur les sites de l'URSSAF et du RSI, il est impossible d'obtenir ces attestations électroniquement même une fois dûment enregistré sur les sites respectifs. J'ai essayé pour vous, ma comptable a confirmé.
Ayant déjà eu maille à partir avec le grand machin que personne ne nous envie et qui s'appelle l'URSSAF, j'ai commencé mes démarches par le RSI pour m'entendre dire que je ne suis pas un heureux cotisant de ce charmant bidule. Dans ce cas, qui donc se permet depuis plusieurs années de prélever des sommes indécentes sur mes comptes ? Le RSI ne me connaissant pas, je me rabats sur mon organisme conventionné qui, lui, me retrouve et m'annonce que je ne suis pas à jour de mes cotisations de 2012.
Là, je m'énerve parce que j'ai sous la main l'attestation du RSI qui ne me connaît pas et qui m'a pourtant envoyé un document que je conserve jalousement indiquant que toutes les cotisations dues pour 2012 avaient été réglées. Passons donc à 2013. Là encore, je ne serais pas à jour.
Il est vrai que j'ai eu un rattrapage énorme entre septembre et décembre 2013 et que j'ai demandé au RSI de régler ce rattrapage en trois fois, les 24 novembre, 24 décembre 2013 et 24 janvier 2014. J'ai eu droit au passage à 10% de pénalité. Là non plus, il n'y a pas de petits profits.
Si les deux premiers chèques ont bien été encaissés (déposés en main propre), celui de janvier 2014 envoyé en courrier suivi n'a pas été traité. À quoi aurais-je dû m'attendre, c'est presque un fonctionnement normal et pour une fois, la poste n'est pas en tort, ce courrier ayant bien été distribué.
Ne pouvant obtenir ce papier et n'ayant pas les moyens de payer immédiatement le relicat, je décide donc d'attaquer le centre d'appel de l'URSSAF par la face nord en leur demandant immédiatement si j'étais à jour de mes cotisations chez eux. La réponse étant affirmative, j'avance mon pion en demandant si, par le plus grand des hasards, il était possible de m'envoyer cette attestation par courrier électronique. Ce n'est pas possible. En revanche, ce qui est possible, c'est de l'imprimer chez eux depuis leur logiciel de gestion, de le glisser dans une enveloppe et de coller un timbre urgent sur cette enveloppe.
Nous sommes en 2014. J'ai bien vérifié tant j'ai eu l'impression un instant d'être tombé dans une faille de l'espace-temps. Les entreprises et les professions libérales sont contraintes à utiliser les déclarations informatiques, mais l'URSSAF est incapable d'envoyer par courrier électronique une attestation de règlement.
Nous vivons vraiment une époque moderne.
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